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“Je pense que j’ai pris les bonnes décisions au bon moment, même si ce sont des affaires qui sont douloureuses et délicates”, s’est-il défendu sur Europe-1. “Imaginez le tollé qu’aurait provoqué une décision de ma part de reporter le match dès samedi, alors que les meilleurs experts médicaux me disaient que ce match pouvait en principe avoir lieu”.
“Je ne suis absolument pas certain qu’il y ait un lien de causalité entre les bagarres qu’on a vues malheureusement hier à Marseille, et l’annulation du match”, a-t-il ajouté, s’interrogeant si “cette bagarre n’était pas programmée à l’avance, de toute façon”. Après le passage entre samedi soir et dimanche matin de deux cas à cinq cas positifs de joueurs du PSG atteints de la grippe AH1N1, le président de la Ligue a estimé qu’il s’agissait d’une “situation d’urgence sanitaire”, et qu’il faudrait à l’avenir “que les Français s’habituent au fait” que des annulations de matchs pouvaient avoir lieu “le matin pour le soir, ou à midi pour le soir”, rapporte AP.
Les échauffourées survenues dimanche après-midi à Marseille à l’issue de l’annonce du report du match OM-PSG pour cause de joueurs parisiens souffrant de la grippe A/H1N1, ont provoqué une dizaine de blessés légers, ainsi qu’une dizaine d’interpellations. A ce propos, trois jeunes Marseillais ont été condamnés mardi à trois mois de prison ferme pour leur implication dans les échauffourées.
Les trois hommes, âgés de 18 ans, ont été jugés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Marseille pour avoir jeté dimanche des projectiles sur des policiers et écroués.
Le parquet avait requis des peines de six à huit mois d’emprisonnement ferme et des interdictions de fréquenter une enceinte sportive.
Deux d’entre eux ont contesté avoir lancé des projectiles sur les forces de l’ordre dimanche dans le centre de Marseille.
Leur avocate, Me Anne-Sophie Rousselin, a précisé, rapporte l’agence Reuters, qu’elle ferait appel de cette décision.
Trois mineurs également été interpellés le jour des incidents ont été présentés mardi au juge des enfants de Marseille.
Les incidents survenus après le report du match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain en raison d’un foyer de grippe A (H1N1) au sein du groupe parisien, ont fait une vingtaine de blessés, dont onze policiers.