-
Les étudiants en médecine ne sont pas près de lâcher prise
-
Réquisitoire retentissant de Omar Hilale contre la politique déstabilisatrice du régime algérien dans la région du Sahel
-
Le ministère répond aux revendications des étudiants en médecine pour rétablir la normalité académique
-
SM le Roi félicite le Président chinois à l’occasion de la fête nationale de son pays
-
Synthèse du rapport annuel du CSEFRS: Bilan et perspectives de l’action du Conseil en 2023
La décision est intervenue, lors de la première séance du procès en appel, suite à une requête de la défense pour préparer sa plaidoirie.
Des jugements allant de l'acquittement à cinq ans de prison ferme avaient été prononcés en première instance, le 20 février dernier, à l'encontre des six personnes poursuivies dans le cadre de cette affaire, parmi elles l'accusé principal, Taoufik Ibrahimi, ex-directeur général de "Comanav", qui a écopé de cinq ans de prison ferme pour "préparation, incitation et participation au sabotage d'établissements publics (ports et bateaux) et entrave à la liberté du travail", la Cour l'ayant blanchi du chef d'inculpation de "constitution d'une bande criminelle et divulgation du secret professionnel".
Cinq autres personnes, à savoir l'ancien directeur central des ressources humaines, un ancien attaché à l'Institut scientifique de la pêche maritime, l'ancien secrétaire général du syndicat des marins et l'ancien secrétaire général du syndicat des dockers, sont poursuivies dans cette affaire pour "incitation et participation au sabotage d'établissements publics (ports et bateaux) et entrave à la liberté du travail", conformément aux articles 129, 288 et 591 du Code pénal, alors qu'un marin exerçant au port Tanger-Med a été acquitté.
Cette affaire avait été déférée devant la Cour d'appel de Rabat le 19 juin dernier.