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Ses sujets de prédilection : l’économie, la politique européenne, la gouvernance mondiale. Mais le plus intéressant là-dedans, c’est sans doute ses émoluments : 75.000 à 200.000 euros la conférence, entre New York, Londres, Monaco ou Brasilia. «Est-ce que c'est de ma faute si je suis demandé partout dans le monde ? » se défend Sarkozy au lendemain d’une conférence au Qatar en pleine débâcle de l’UMP dans le Doubs, parti dont il a aussi repris les rênes en attendant 2017.
Et puis, il faut bien gagner sa vie : «Quand vous êtes président de l'UMP, ce n'est pas un métier, vous ne gagnez pas d'argent. Conférencier international, c'est son travail », justifie le directeur général de l'UMP. « Le vrai problème, c’est que ce job l’emmerde. Il ne veut pas être président de parti. C’est pourquoi il n’a jamais voulu renoncer à ses conférences », contrebalance un ancien ministre. C’est vrai qu’une conférence à Doha est plus excitant qu’un débat avec Bruno Le Maire. Et puis, c’est une question d’ego : « Cela lui permet de rappeler que sa stature est internationale. Au-dessus même de celle de François Hollande. »