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Cette rente, il la place (24 millions d’euros dans l’immobilier – pour des demeures qu’il achète rubis sur l’ongle). Elle pourrait sembler être celle d’un honnête ancien premier ministre reconverti en conférencier de luxe s’il n’y avait pas de forts soupçons de mélanges des genres : bénévole au Moyen-Orient pour l’ONU, l’UE, les États-Unis et la Russie, il est aussi au conseil d’administration de la holding JP Morgan Chase, consultant pour la société saoudienne PetroSaudi et il est payé par Zurich Insurance (682.000 d’euros par an), par l’émir du Koweït (2,73 millions par an) et celui d’Abou Dhabi (1,37 millions par an), la Mongolie et le Kazakhstan (11 millions environ).
Et dans son temps libre, il joue les intermédiaires pour une compagnie téléphonique palestinienne dans la bande de Gaza grâce à ses relations avec Israël et Hillary Clinton du temps de son secrétariat d’État, mais aussi pour le compte d’une compagnie gazière britannique à Gaza cliente de sa société Tony Blair Associates.