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Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du projet d'"appui aux compétences législatives du Parlement" appuyé par le Programme des Nations unies et dans la mise en œuvre de l'accord entre ce programme et le Centre d'études et de recherches en sciences sociales.
Intervenant lors de cette rencontre, Mme Fatima Belmoudden, membre du Bureau politique de l'USFP a relevé les lacunes de la loi actuelle qui n'est pas en mesure de réaliser les objectifs pour lesquels elle a été mise en place, notamment le renforcement de la démocratie interne et la représentativité féminine et la lutte contre la transhumance politique, appelant les acteurs et les experts politiques à adhérer aux efforts relatifs à la réforme de cette loi.
Pour sa part, le président du Centre d'études des droits de l'Homme et de la démocratie (CEDHD), Lahbib Belkouch, a indiqué que la conjoncture actuelle requiert la réhabilitation des partis politiques, l'un des piliers du champ politique marocain, estimant que la correction des dysfonctionnements de la loi actuelle est susceptible de renforcer la démocratie et la moralisation de la vie politique.
Il a, en outre, souligné la nécessité de se pencher sur les problématiques liées aux procédures de création des partis politiques, au contrôle de la transhumance politique, à la déclaration des biens, à la lutte contre l'utilisation de l'argent lors des élections et à la participation des jeunes et de la femme à la vie politique.