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«Confidencial digital» a évoqué, à ce propos, la montée de la tension qui «augure un été plus difficile» que celui de 2011. Et d’ajouter que les forces de police espagnole stationnées dans la ville occupée prévoient une situation «qui rappelle en quelque sorte l'Intifada palestinienne dans la Bande de Gaza et la Cisjordanie».
Le journal s’est appuyé, dans ce sens, sur une vidéo des affrontements entre des Marocains et la police espagnole sans pour autant préciser la date de la prise de ces images.
«Les officiers avec lesquels a parlé Confidencial digital, mettent en garde contre la recrudescence de la tension au cours des dernières semaines et prévoient que l’été prochain sera «encore plus difficile» que celui de 2011, lorsque des groupes de militants marocains avaient initié une campagne de harcèlement contre les forces espagnoles, ce qui avait finalement conduit au déclenchement d’un conflit international entre l'Espagne et le Maroc», précise la même source. Et d’ajouter que «la situation qui existe à Mellilia est bien pire actuellement qu'il y a deux ans, parce que «les attaques sont beaucoup plus violentes et dangereuses».
En plus des Subsahariens qui tentent de temps à autre de forcer les clôtures, la frontière factice est devenue depuis des années un lieu idoine pour les activistes marocains qui demandent la fin de l’occupation espagnole des deux présides marocains de Sebta et Mellilia.
A noter que sept activistes marocains membres du Comité national de libération de Sebta et Mellilia, se sont rendus l’année dernière sur l’île de Badis, près d’Al Hoceïma, sur laquelle ils avaient hissé les couleurs nationales. Quatre d’entre eux avaient été arrêtés par l’armée espagnole en poste sur ce rocher. Les trois autres, dont le député Yahya Yahya, avaient réussi à prendre la fuite.