Jean-Luc Nothias est chroniqueur au Figaro et a choisi de se pencher sur un phénomène que l'on connaît tous, sans pour autant savoir l'expliquer : le chant du coq au petit matin. Comme c'est souvent le cas dans le règne animal, ces performances vocales sont avant tout un moyen d'asseoir sa domination. Par son chant, retentissant dès que les premiers éclats du jour commencent à chasser l'obscurité, le coq rappelle aux poules, et surtout aux jeunes coqs qui voudraient prendre sa place, que c'est lui le roi. Même s'il patauge dans la boue d'un poulailler, le coq est à la basse-cour ce que le lion est à la savane. Jean-Luc Nothias ne manque pas de noter que si les poules peuvent sans difficulté pondre sans le coq, ce dernier est indispensable pour générer des poussins. Et si le phénomène est ancestral, il n'empêche qu'il est souvent au cœur de disputes de voisinage au titre de nuisances sonores. Le chant du coq atteint tout de même 50 à 60 décibels, soit à peine moins qu'un restaurant bruyant ou un train passant à 80 km/h (70 à 80 dB). De quoi donner envie à ses voisins de voler dans les plumes de ce réveil matin naturel, souvent trop matinal.
Pourquoi le coq chante le matinMaxisciences
Mercredi 25 Août 2010
Le chant du coq est un véritable symbole de la vie à la campagne. Il est pourtant parfois difficile de le supporter, durant une mise au vert ou lorsque l'on n'y est pas habitué par exemple. Alors, pourquoi le coq chante-t-il si fort et si tôt chaque matin ? Jean-Luc Nothias s'est penché sur la question.
Jean-Luc Nothias est chroniqueur au Figaro et a choisi de se pencher sur un phénomène que l'on connaît tous, sans pour autant savoir l'expliquer : le chant du coq au petit matin. Comme c'est souvent le cas dans le règne animal, ces performances vocales sont avant tout un moyen d'asseoir sa domination. Par son chant, retentissant dès que les premiers éclats du jour commencent à chasser l'obscurité, le coq rappelle aux poules, et surtout aux jeunes coqs qui voudraient prendre sa place, que c'est lui le roi. Même s'il patauge dans la boue d'un poulailler, le coq est à la basse-cour ce que le lion est à la savane. Jean-Luc Nothias ne manque pas de noter que si les poules peuvent sans difficulté pondre sans le coq, ce dernier est indispensable pour générer des poussins. Et si le phénomène est ancestral, il n'empêche qu'il est souvent au cœur de disputes de voisinage au titre de nuisances sonores. Le chant du coq atteint tout de même 50 à 60 décibels, soit à peine moins qu'un restaurant bruyant ou un train passant à 80 km/h (70 à 80 dB). De quoi donner envie à ses voisins de voler dans les plumes de ce réveil matin naturel, souvent trop matinal. Lu 520 fois
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
Dossiers du weekend | Actualité | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Chronique | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe |
|
||||
|