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«L’eau est notre futur commun. C’est non seulement un élément essentiel du patrimoine de notre planète. C’est surtout un élément indispensable au maintien de la vie et au développement.
C’est le rôle et la responsabilité du Conseil mondial de l’eau de faire accepter cette idée que l’eau et l’assainissement sont une des priorités principales des décennies à venir. Une priorité qui doit s’exprimer dans les actes et plus seulement dans les discours. La communauté internationale de l’eau, regroupée dans le Conseil depuis 1996 fait entendre cette voix : la voix de l’eau.
C’est une des raisons d’être des Forums mondiaux de l’eau qui sont, à la fois, des lieux et des moments de réflexion, d’échanges et de propositions pour faire avancer concrètement la cause de l’eau.
A travers l’idée qu’il n'y pas de développement humain sans maîtrise du cycle de l’eau, quatre grandes familles de sujets sont au cœur des préoccupations du moment :
- le financement de l’eau qui exige des choix clairs à tous les niveaux de décision pour que définitivement « les robinets passent avant les fusils » ;
- le droit à l’accès à l’eau dont l’expression est sans ambiguïté, mais dont les modalités doivent maintenant être précisées, en fonction des spécificités nationales ;
- l’organisation institutionnelle de l’eau, avec une décentralisation accrue en respectant le nécessaire équilibre entre le rôle régulateur de l’Etat et la responsabilisation des capacités locales ;
- l’adaptation des savoirs de l’eau, pour que les transferts de connaissance et les programmes de recherche soient enfin adaptés aux particularismes et aux besoins de chaque communauté.
C’est un vrai challenge. C’est notre devoir, c’est votre devoir, d’y contribuer pour apporter aux plus démunis, aux plus pauvres, aux plus faibles, l’espoir d’une vie où la recherche d’une eau propre et abondante ne soit plus l’obsession de chaque instant.
Il nous faut pour cela tous ensemble établir des messages clairs et concrets adressés au grand public à travers les relais d’opinion et les médias. Des messages que chacun relayera ensuite vers tous ceux qui ont un pouvoir de décision financier, juridique, institutionnel, scientifique.
* Président du Conseil mondial de l’eau
C’est le rôle et la responsabilité du Conseil mondial de l’eau de faire accepter cette idée que l’eau et l’assainissement sont une des priorités principales des décennies à venir. Une priorité qui doit s’exprimer dans les actes et plus seulement dans les discours. La communauté internationale de l’eau, regroupée dans le Conseil depuis 1996 fait entendre cette voix : la voix de l’eau.
C’est une des raisons d’être des Forums mondiaux de l’eau qui sont, à la fois, des lieux et des moments de réflexion, d’échanges et de propositions pour faire avancer concrètement la cause de l’eau.
A travers l’idée qu’il n'y pas de développement humain sans maîtrise du cycle de l’eau, quatre grandes familles de sujets sont au cœur des préoccupations du moment :
- le financement de l’eau qui exige des choix clairs à tous les niveaux de décision pour que définitivement « les robinets passent avant les fusils » ;
- le droit à l’accès à l’eau dont l’expression est sans ambiguïté, mais dont les modalités doivent maintenant être précisées, en fonction des spécificités nationales ;
- l’organisation institutionnelle de l’eau, avec une décentralisation accrue en respectant le nécessaire équilibre entre le rôle régulateur de l’Etat et la responsabilisation des capacités locales ;
- l’adaptation des savoirs de l’eau, pour que les transferts de connaissance et les programmes de recherche soient enfin adaptés aux particularismes et aux besoins de chaque communauté.
C’est un vrai challenge. C’est notre devoir, c’est votre devoir, d’y contribuer pour apporter aux plus démunis, aux plus pauvres, aux plus faibles, l’espoir d’une vie où la recherche d’une eau propre et abondante ne soit plus l’obsession de chaque instant.
Il nous faut pour cela tous ensemble établir des messages clairs et concrets adressés au grand public à travers les relais d’opinion et les médias. Des messages que chacun relayera ensuite vers tous ceux qui ont un pouvoir de décision financier, juridique, institutionnel, scientifique.
* Président du Conseil mondial de l’eau