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Le ministère de l’Intérieur, de son côté, précise que pour accéder au territoire national, ladite séparatiste a dû accomplir les formalités de police ou de douane en vigueur dans tout le pays. « Le Maroc qui reste attaché au respect des droits de l’Homme, réaffirme qu’il ne tolérerait, pour quelque raison que ce soit, aucune transgression dans l’application, sur l’ensemble du territoire national, des lois en vigueur et a fortiori lorsque ses auteurs conspirent avec les adversaires du Royaume contre les intérêts ». Les termes du ministère de l’Intérieur se veulent sans équivoque.
Les droits et les devoirs de tous les citoyens doivent être les mêmes partout au Maroc, sans exception aucune, ou quelque favoritisme de quelque nature que ce soit.
Bien qu’étant dans son droit, le Maroc n’a cessé de manifester sa volonté de mettre un terme à une situation fabriquée de toutes pièces par ceux qui doivent avoir quelques obscures raisons de craindre un Maroc sans conflit, œuvrant à la consolidation de ses acquis et à la réalisation de ses objectifs d’évolution et de développement. L’Initiative d’autonomie pour les provinces marocaines du Sud bénéficie de l’approbation des puissances les plus en vue et des personnalités les mieux avisées et les plus éclairées de par le monde. Il n’y a que du côté d’Alger où l’on se fait à dessein bouché et obtus.
Et comme le ridicule ne tue pas, c’est ce même voisin de l’Est qui, se servant à sa guise de quelques pantins séparatistes, tente stupidement de sortir la carte des droits de l’Homme. C’est peut-être l’occasion de rappeler à ces droits-de-l’hommiste invétérés qui détiennent le pouvoir à Alger qu’aujourd’hui, jour pour jour, l’on commémore un bien triste anniversaire qui a porté un coup quasi-fatal à ce rêve appelé « Maghreb arabe ». Il y a 34 ans de cela, des milliers de Marocains ont dû être embarqués de force dans des conditions barbares, laissant derrière eux enfants ou proches parents, pour être jetés à la frontière. Au jour d’aujourd’hui, ils sont toujours privés du droit de récupérer leurs biens ou de retrouver les leurs. Cela fait trente longues années qu’ils ne cessent de le rappeler. Hier encore, ils ont accompli la prière du vendredi, de même qu’un énième sit-in devant l’ambassade d’Algérie à Rabat. Une manière pacifiste et civilisée d’interpeller ces donneurs de leçons improvisés.
C’est une aberration; c’est une ignominie que de chercher à instrumentaliser les droits de l’Homme pour les exploiter à des fins bassement égocentriques.
Nul ne peut contester aujourd’hui les avancées réalisées par le Maroc pour ce qui est des droits de l’Homme et en toute légitimité, les nombreuses associations et les innombrables militants persévèrent pour plus d’acquis.
Pour Alger, les droits de l’Homme dans les provinces marocaines du Sud, consisteraient à voir la Minurso se détourner de sa mission première en vue d’empêcher tout accrochage et donc se substituer à l’administration marocaine. Trop gros, venant de conseilleurs qui n’hésitent pas à mater et à étouffer toute velléité de manifestation ou de revendication. Et qui protègent ces bourreaux détenant, contre leur gré, des milliers de Marocains dans les conditions horribles qui caractérisent les camps de Tindouf.
Auraient-ils la perspicacité suffisante pour saisir de cet épisode de la dénommée Haïdar, si besoin en est, cette énième preuve d’un attachement unanime et sans faille de tous les Marocains à leur cause nationale.
Tous ces partis politiques, ces associations, ces ONG … qui, d’une seule voix, qui disent oui à un Maroc fort et uni où il n’y a pas de place pour des mercenaires à la solde de quelque ennemi que ce soit.