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La concentration en microparticules PM2.5 (les plus dangereuses car se diffusant directement dans le sang) a été mesurée dans la matinée à 907 microgrammes par mètre cube d'air à certains points de la mégapole de 30 millions d'habitants, selon ces mesures.
La ville est confrontée chaque hiver à des pics de pollution causés par les fumées toxiques des usines, du trafic routier, auxquelles s'ajoutent à cette période de l'année celles des brûlis agricoles saisonniers.
Les autorités locales ont déclenché dimanche soir le niveau 4 de leur plan d'alerte "afin d'empêcher une nouvelle détérioration de la qualité de l'air".
La plupart des écoles de l'agglomération sont restées fermées lundi, les restrictions à la circulation ont été renforcées et le recours au télétravail est fortement recommandé, jusqu'à nouvel ordre.
Selon l'OMS, la pollution atmosphérique peut causer des maladies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que des cancers du poumon.
Une étude publiée en juin dernier a établi que la pollution de l'air était responsable de 11,5% de la mortalité à New Delhi, soit 12.000 morts par an.