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Selon l'état-major des armées sud-coréennes, les trois premiers tirs ont eu lieu tôt dans la matinée, le quatrième à la mi-journée, et les trois derniers dans l'après-midi. Le ministère sud-coréen de la Défense a précisé qu'il s'agissait de missiles balistiques qui auraient parcouru plus de 400 kilomètres.
"Notre armée est totalement prête à contrer toutes les menaces et provocations nord-coréennes en s'appuyant sur les positions de défense conjointes de la Corée du Sud et des Etats-Unis", a souligné l'état-major dans un communiqué. Selon des responsables des renseignements cités par l'agence sud-coréenne Yonhap, les trois premiers missiles étaient de type Rodong, tandis que les quatre autres étaient des Scud-C nouvelle version. Les Scud-C ont une portée maximale de 500km, contre 1.300km pour les Rodong, qui pourraient donc atteindre le Japon. Diverses résolutions des Nations unies interdisent officiellement à la Corée du Nord le tir de Scuds et de missiles à moyenne et longue portées. La dernière résolution en date, adoptée après l'essai nucléaire de Pyongyang le 25 mai, empêche tout tir de missile balistique.
Les nouveaux tirs de samedi ont été condamnés par la Corée du Sud, le Japon et la France, qui a appelé "la Corée du Nord à s'abstenir de toute nouvelle provocation et à mettre en oeuvre sans délai les résolutions du Conseil de sécurité".