-
Racisme structurel et institutionnel: Une discrimination silencieuse mais omniprésente que subissent les Marocains et autres groupes racialisés en Europe
-
Amina Bouayach : Le Maroc, un acteur majeur dans le domaine des droits de l’Homme au niveau continental
-
El Hassan Daki : Les droits de l’Homme et la prévention de la torture, une priorité première de la politique pénale
-
Une délégation de Sénateurs américains reçue par le ministre délégué chargé de l’Administration de la défense nationale et par le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des FAR
-
Nasser Bourita s’entretient avec une délégation sud-africaine de l'ANC et des Sénateurs américains
«Le Maroc agit selon une doctrine et des principes clairs lorsqu’il s’agit de faire la différence entre l’appartenance à une organisation et la reconnaissance des entités qui pourraient en faire partie mais que le Maroc ne reconnaît pas», a-t-il ajouté.
Dans cet exercice en particulier, «l’aberration est flagrante», a souligné le ministre, se demandant comment une entité qui n’a pas de territoire pourrait appartenir à une zone de libre-échange .
«Si cette entité va faire du commerce à partir de Tindouf, ça va être du commerce interne dans un autre pays de l’Union africaine qui est l’Algérie», a poursuivi Nasser Bourita, se demandant : «Avec quelle monnaie cette entité va-t-elle le faire ? Si ce commerce aura lieu, c’est avec la monnaie algérienne».
Aussi, s’est exclamé le ministre, «si les marchandises doivent passer par une douane, ça sera celle de l’Algérie, donc c’est ça l’aberration que le Maroc a tenu à soulever».