Ledit « Frente » a poussé son « cynisme » jusqu’à l’ignominie, jusqu’à chercher à porter atteinte à nos symboles et fondements nationaux.
S’il y a lieu, à ce propos, de se remémorer l’une des positions du leader bolchévique Illich Vladimir Oulianov Lénine qui restent d’actualité, c’est bien celle qui colle parfaitement à ce mouvement espagnol se disant marxiste – léniniste. Elle épingle justement ce genre de tendances infantiles caractérisant quelques courants communistes.
« Frente obrero » est le prototype même de cette ferraille soviétique et autres déchets laissés par lesdits courants radicalistes.
Sinon, comment qualifier ces outils matériels dont diverses affiches devant servir dans la rivalité électorale lors de la campagne des législatives de juillet courant ? Ledit « parti » a de la sorte touché le fond, dévoilant ainsi un gauchisme infantile trop bas avec tout ce qu’il emmagasine comme sentiments de haine à l’encontre d’un peuple, d’un pays et de leurs symboles, rivalisant, ainsi, de la manière la plus répugnante qui soit avec les plus ignobles des groupements faschistes et new nazis, le but étant d’en faire, ni plus ni moins, un fonds de commerce.
Il s’escrime à vouloir faire du leader Lénine, à qui il prétend s’identifier, une sorte d’auxiliaire politique des séparatistes, et de la sorte un lèche-bottes des militaires algériens enfoncés dans une quête incessante de raclure, de contrebandiers de tous genres dont ceux idéologiques.
En désespoir de cause et après avoir essuyé refus et rejet de la part de formations, mouvements et partis de poids, clairvoyants et sensés et par là convaincus de la justesse de la Cause nationale marocaine et de la nécessité de l’édification d’un voisinage stratégique rationnel et réussi avec l’Espagne en général et le leader Pedro Sanchez en particulier, le soi-disant Front a jeté son dévolu sur un parti isolé sur la scène politique espagnole.
Il est évident qu’en cherchant de la sorte à pousser cette minable formation à exprimer ses sentiments animaliers, les ennemis du Maroc tant en Espagne qu’en Algérie, donnent par là la preuve de l’amer sentiment de faillite qu’ils endurent, d’autant plus que les forces politiques authentiques n’ont de cesse de manifester leur persévérance pour un excellent partenariat solide et sérieux avec le Maroc.
Il va sans dire que ce courant insignifiant, par ailleurs, puisque sans valeur démocratique, politique ou organisationnelle en Espagne fait siennes les tendances réactionnaires de droite dans sa guerre contre le Maroc comme dans celle qu’il mène contre les immigrés, rejoignant ainsi dans un curieux paradoxe l’extrême droite qui soit dit en passant, est plus présente que cet infinitésimal Frente obrero, confirmant par-là, la prémonition de Lénine soutenant que les extrémistes des deux bords, droite et gauche, finissent par se rejoindre.
Les sages, que ce soit en Espagne ou partout en Europe, ne sont pas sans avoir saisi la déchéance morale de ce courant dont ils rejettent les viles comportements. Tout comme le peuple espagnol qui ne lui laisse pas la moindre place sur la carte politique et qui continuera à l’ignorer et à l’écarter. Il en est de même des partis politiques respectables qui ont eu à subir ses actions terroristes et criminelles et qui sont déterminés à ne tenter aucune normalisation que ce soit avec cette entité ni avec son projet.
Pour notre part au Maroc, nous continuerons à écrire et à réécrire un « MANIFESTO » d’amour pour notre pays et ses Symboles, avec en tête, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Guide de la Renaissance, de la Réforme, de l’Unité et de la Dignité dans le nouveau Maroc, que Dieu le glorifie.