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Le réseau arabe de lutte contre la corruption, créé en 2008 à Amman, en Jordanie, s'assigne pour principal objectif la lutte contre ce phénomène dans les pays de la région et d'asseoir une coordination efficiente entre eux en vue de combattre toutes les formes de la prévarication.
Lors d'une rencontre de concertation, organisée dans le cadre de la 4ème session de la Conférence des Etats parties à la Convention des Nations unies pour la lutte contre la corruption, Mme Abou Osba a plaidé pour la consolidation et l'évaluation des capacités de chaque pays dans le but de parvenir à des amendements constitutionnels qui permettront d'institutionnaliser la lutte contre la corruption.
Prenant la parole lors de cette réunion, initiée par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), le ministre chargé de la Modernisation des secteurs publics, Saad Alami a fait savoir que ce réseau ne se limite guère aux seuls gouvernements, mais aspire à ce que cette structure intègre l'ensemble des potentialités afin d'échanger les expériences et les expertises sur les moyens judicieux et efficients visant à juguler ce fléau dans le monde arabe. Ce réseau constitue une "alliance arabe" destinée à combattre efficacement la corruption dans les pays de la région, a souligné M.Alami, président de la 4ème session, plaidant pour la bonne gouvernance en tant que facteur de nature à contribuer au renforcement de la démocratie et de l'Etat de droit. Le fléau de la corruption a pris des proportions démesurées dans plusieurs pays, a-t-il estimé, appelant à l'élaboration de plans d'action pour éradiquer ce mal et ses origines à travers l'ouverture des champs de liberté, le respect des droits de l'Homme et la promotion de la bonne gouvernance dans la gestion de la chose publique.