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La mégapole californienne, qui compte près de 4 millions d'habitants, enregistre une congestion moyenne de ses rues et autoroutes de 39%, trois points de plus qu'en 2013, selon les relevés effectués sur le trafic par la société créée aux Pays-Bas.
Les bouchons restent toutefois plus acceptables à Los Angeles qu'à Istanbul, la ville la plus embouteillée du monde avec un taux de 58% de routes congestionnées. Les automobilistes ne sont pas non plus à la fête à Mexico (55%) ou à Rio de Janeiro (51%).
Parmi les autres grandes villes américaines, San Francisco (34%), Honolulu (32%), New York ou Seattle (31%), San José (30%), Miami, Chicago ou Washington DC (27%) sont d'autres mauvais élèves.
"Les hauts niveaux d'embouteillages sont dus en partie aux semaines de travail traditionnelles, qui obligent les automobilistes à se retrouver sur le réseau routier exactement aux mêmes moments", note TomTom dans un communiqué.
Les six millions d'habitants de Los Angeles et de ses innombrables banlieues ne font guère preuve de souplesse dans leurs horaires et le pic de trafic intervient en fin d'après-midi quand les gens rentrent de leur travail: le taux de routes congestionnées atteint alors les 80%, ce qui double presque les temps de trajet.
Les habitants de Los Angeles perdent ainsi en moyenne quelque 92 heures chaque année, coincés dans les bouchons.