Le Real Madrid et le FC Barcelone, qui dominent outrageusement le Championnat d'Espagne avec près de 20 points d'avance sur le 3e, Valence, affrontent des équipes modestes ce week-end, le Sporting Gijon (12e) à Bernabeu et Saragosse (17e) à l'extérieur, lors de la 27e journée.
A moins d'un mois du "Clasico" retour, le 10 ou 11 avril à Madrid, aucun des deux poids lourds espagnols, à égalité en tête avec 65 points, ne compte laisser des plumes en route.
La Liga est devenue vitale pour le Real Madrid après sa sixième élimination d'affilée en 8e de finale la Ligue des champions par Lyon. "Nous devons penser à la Liga et la gagner", a dit jeudi le défenseur international Alvaro Arbeloa.
"Nous allons devoir faire un bon match (face au Sporting samedi) si nous voulons que continue notre bonne série à domicile", a ajouté le défenseur latéral, alors que le Real Madrid a gagné tous ses matches chez lui en Liga depuis le début de la saison (13 sur 13).
"Gagner tous les matches à domicile sera difficile mais c'est un objectif que nous nous sommes fixés". Cela voudra dire battre le Barça, une victoire qui pourrait être décisive pour le titre.
Le club catalan, euphorique après sa nouvelle démonstration européenne face à Stuttgart (4-0), sera toujours privé de son cerveau au milieu du terrain, Xavi, blessé à la jambe droite la veille du match de Ligue des champions.
Le jeune Sergio Busquets, également international espagnol, l'a parfaitement remplacé face au club allemand. Remplacé à la 66e minute mercredi en raison d'un coup reçu à une jambe, "Busi" a eu droit à une session d'entraînement allégée jeudi mais devrait être opérationnel dimanche à Saragosse.
Le FC Séville, éliminé comme le Real en 8e de finale de la C1 et dont la 4e place est menacée par Majorque et le Deportivo La Corogne, se doit de réagir, samedi à Barcelone devant l'Espanyol.
"Nous devons nous relever, (l'élimination) a été une grande déception mais il y a encore deux compétitions (la Liga et la Coupe du Roi) qui peuvent nous combler", a souligné l'entraîneur de Séville, Manolo Jimenez
A moins d'un mois du "Clasico" retour, le 10 ou 11 avril à Madrid, aucun des deux poids lourds espagnols, à égalité en tête avec 65 points, ne compte laisser des plumes en route.
La Liga est devenue vitale pour le Real Madrid après sa sixième élimination d'affilée en 8e de finale la Ligue des champions par Lyon. "Nous devons penser à la Liga et la gagner", a dit jeudi le défenseur international Alvaro Arbeloa.
"Nous allons devoir faire un bon match (face au Sporting samedi) si nous voulons que continue notre bonne série à domicile", a ajouté le défenseur latéral, alors que le Real Madrid a gagné tous ses matches chez lui en Liga depuis le début de la saison (13 sur 13).
"Gagner tous les matches à domicile sera difficile mais c'est un objectif que nous nous sommes fixés". Cela voudra dire battre le Barça, une victoire qui pourrait être décisive pour le titre.
Le club catalan, euphorique après sa nouvelle démonstration européenne face à Stuttgart (4-0), sera toujours privé de son cerveau au milieu du terrain, Xavi, blessé à la jambe droite la veille du match de Ligue des champions.
Le jeune Sergio Busquets, également international espagnol, l'a parfaitement remplacé face au club allemand. Remplacé à la 66e minute mercredi en raison d'un coup reçu à une jambe, "Busi" a eu droit à une session d'entraînement allégée jeudi mais devrait être opérationnel dimanche à Saragosse.
Le FC Séville, éliminé comme le Real en 8e de finale de la C1 et dont la 4e place est menacée par Majorque et le Deportivo La Corogne, se doit de réagir, samedi à Barcelone devant l'Espanyol.
"Nous devons nous relever, (l'élimination) a été une grande déception mais il y a encore deux compétitions (la Liga et la Coupe du Roi) qui peuvent nous combler", a souligné l'entraîneur de Séville, Manolo Jimenez
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