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La nouvelle étude, publiée par la Public Library of Science, a été menée par trois universitaires du département des sciences animales et d'éthologie de l'Université de Prague, et une scientifique de l'Institut d'études criminelles de Prague, en République tchèque.
Les chercheurs ont récolté des échantillons de transpiration de deux jumeaux identiques (monozygotes) et de deux «faux jumeaux» (dizygotes), qu'ils ont ensuite répartis parmi d'autres pour organiser plusieurs séances d'identification (120 au total). Dix bergers allemands entraînés, appartenant à la police tchèque, ont chacun effectué douze de ces séances. Tous ont correctement identifié chaque jumeau selon son odeur, qu'il fasse partie d'une fratrie monozygote ou dizygote.
Ce que les chiens «sentent» comme différence entre les deux jumeaux serait, selon le blog 80 beats sur le site du Discover Magazine, une expression du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), une portion d'ADN qui code des protéines du système immunitaire. Elle a déjà été liée par de précédentes études à la reconnaissance d'odeurs entre animaux, et dépend de la nourriture d'une personne et de l'environnement dans lequel elle évolue.
«Les jumeaux les plus jeunes dont des échantillons ont été pris avaient cinq ans, ce qui indique que les jumeaux ayant le même ADN, et vivant dans le même environnement divergent malgré tout très rapidement.»
Le blog précise que cette étude n'est pas la première à tenter d'employer l'odeur pour identifier une personne en particulier. Les études précédentes sur le même sujet avaient été conduites de manière désordonnée: chiens mal entraînés ou mal employés, et parfois trop peu de chiens pour que l'expérience soit déterminante.