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El Hassan Daki : Les droits de l’Homme et la prévention de la torture, une priorité première de la politique pénale
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Une délégation de Sénateurs américains reçue par le ministre délégué chargé de l’Administration de la défense nationale et par le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des FAR
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Nasser Bourita s’entretient avec une délégation sud-africaine de l'ANC et des Sénateurs américains
Ces prétendus Marocains fuyant les provinces du Sud sont, effectivement des Sahraouis, mais Algériens de la région de Tindouf. Sachant les conditions dans lesquelles vivent les Sahraouis des camps de Tindouf et les difficultés qu’ils ont à les quitter, on peut affirmer, sans doute aucun que le département des services de renseignements algérien est à l’origine de cette invasion du département français de l’Aquitaine en vue de ternir l’image du Maroc à travers de faux messages que les prétendus Marocains sont chargés de propager, d’une part. D’autre part, les faux demandeurs d’asile sont là pour constituer des cellules terroristes dormantes prêtes à agir au moindre signe du DRS.
Mais les services de sécurité français sont sur le qui-vive depuis les derniers attentats qui ont secoué ce pays ciblé par des organisations terroristes dont la nébuleuse d’AQMI, entre autres. Ils ont aussitôt fait de démanteler les camps de fortune dressés par les 390 Algériens débarqués en Aquitaine et répartis entre la capitale du département et ses environs. Par ailleurs, les services de sécurité français qui sont au courant de la situation des Sahraouis des camps de Tindouf que ces derniers ne peuvent quitter sans la bénédiction de la sécurité algérienne, ont compris qu’il s’agissait d’une opération de débarquement orchestrée par ce service.
Sournois, les responsables des services de sécurité algériens ont voulu régler plusieurs problèmes. D’abord, débarrasser l’Algérie d’un bon nombre de jeunes gens qui grossissent les effectifs de ses chômeurs, d’un côté, et de l’autre, ternir l’image du Maroc en l’accusant de pousser ses citoyens à demander l’asile en France pour fuir les mauvais traitements qu’il leur infligerait et enfin avoir un contingent prêt à agir pour exécuter toute opération terroriste en France ou ailleurs en Europe et partant en accuser le Maroc.