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La réaction impulsive et insolente de la presse algérienne et l’attaque contre des responsables marocains qui ont défendu l’intégrité territoriale du Maroc lors du Congrès du FFS algérien tenu à la fin de la semaine passée, montrent on peut plus clairement que l’Algérie officielle est impliquée dans l’affaire du Sahara marocain.
Contrairement à la manière avec laquelle le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Eddine Othmani, a réagi ne pipant mot sur le dossier du Sahara lors d’une réunion avec son homologue algérien alors que «les frères algériens» fomentaient, preuve à l’appui, des troubles dans nos provinces du Sud, les représentants des trois partis politiques marocains, à savoir l’USFP, le PPS et le PAM ont profité de l’occasion pour défendre le dossier du Sahara au cœur même de l’Algérie
Le quotidien algérien «Liberté» n’a pas admis qu’«invités à assister aux travaux du congrès du Front des forces socialistes, les représentants des trois partis marocains aient tous abondé dans le sens de la défense de la marocanité du Sahara». «L’un des invités du FFS a évoqué, lors de son discours, l’intégrité territoriale marocaine» et un «autre a été même jusqu’à défendre le projet d’autonomie proposé par le Makhzen au Front Polisario».
Ce quotidien a même forcé la dose et proféré des propos irrévérencieux envers les institutions du Maroc.
Un autre quotidien algérien, «L’Expression», a tiré à boulets rouges sur l’USFP qui était représenté lors de ce congrès par Badia Radi, membre du Bureau politique de l’USFP et Talaa Saoud Al Atlassi coordinateur de la Commission politique du parti, juste parce qu’ils ont défendu la cause nationale au cœur de la capitale algérienne. « Présent à l'ouverture du 5ème congrès du Front des forces socialistes, le porte-parole de l'Union socialiste des forces populaires, également membre de l'Internationale socialiste au même titre que le FFS, a tenté vainement de faire croire que ce dernier est un parti qui a toujours refusé de soutenir ce qu'il appelle «le projet séparatiste du Sahara». Cette affirmation aurait provoqué une vive réaction d'un groupe de militants du FFS», précise L’Expression. D’autres supports algériens dont le quotidien arabophone Al Khabar, ont également prétendu que pareil évènement se serait produit lorsque Talaa Saoud Al Atlassi avait affirmé lors de son intervention que le FFS est le seul parti qui n’a pas soutenu le mouvement séparatiste au Sahara marocain.
Badia Radi a, pour sa part, démenti catégoriquement que des militants de ce parti aient quitté la salle où se déroulait l’ouverture du Congrès.