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Ces refugiés ont trouvé porte close en Algérie, pays prétendument fervent défenseur des droits des peuples opprimés, qui les a déportés vers le Maroc voisin.
Pour ne pas avoir à se salir les mains, les autorités algériennes se sont déchargées de cette sale besogne en la confiant à leurs protégés de la direction du Polisario ; lesquels s’en acquittent en faisant payer le transfert vers la zone tampon, au Sud du Maroc, à prix fort.
L’argent n’a pas d’odeur et peu importe son origine pour les trafiquants d’êtres humains que sont devenus les dirigeants du Polisario. Ces derniers confient la tâche à des miliciens qu’ils ont convaincus que le fait de renvoyer ces refugiés vers le Maroc est une contribution à la guerre « de libération ». Lesquels miliciens ne se gênent pas à se débarrasser des encombrants Syriens, les abandonnant au pied du mur de sécurité dressé par le Maroc.
Ce faisant, ils croient faire d’une pierre deux coups : rendre service à leurs séides algériens tout en prélevant leur dîme au passage. Et comme les dirigeants du Polisario appliquent, à la perfection l’adage qui dit que l’argent n’a pas d’odeur et que l’essentiel c’est de l’avoir, ils ont trouvé là une manière hideuse mais efficace pour s’enrichir rapidement. Sur un autre plan et selon des informations en provenance des camps de Tindouf, la canicule qui sévit en cette période où le thermomètre frise les 50° à l’ombre, passe presqu’inaperçue du fait des guerres de succession engagées par les prétendants à la place de Mohamed Abdelaziz dont l’état de santé se dégrade, de jour en jour. Mais, selon ces mêmes sources, les dés sont jetés et le choix de la DRS oscille entre deux noms. Celui de l’ex-adjudant de l’ALN, Bouhali et du mauritanien et actuel coordinateur avec la MINURSO et fidèle exécutant des instructions de l’organe algérien de renseignements, Mohamed Khaddad. Ce qui écarte toute possibilité de désigner un Sahraoui originaire des provinces marocaines du Sud à la tête du Polisario.