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"Avec 1,3 Md€, la France conforte sa position de premier écosystème de l’Union européenne, devant l’Allemagne (874 M€) et réduit son retard face au Royaume-Uni (2,8 Md€). Elle est le pays d’Europe qui enregistre la plus forte reprise en termes de montants levés par les fintechs en 2024", d'après la même source.
"France FinTech" souligne également la reprise des internationalisations courant 2024 après un ralentissement en 2022 et 2023. Un quart des fintechs françaises dispose d’une implantation étrangère, selon le rapport annuel.
"A ce jour, près d'une entreprise sur quatre (23%) dispose d’une implantation étrangère. Parmi elles: 63% en Europe seulement, 13% hors Europe, 24% Europe + reste du monde", indique-t-on.
Le mécanisme du "passeport réglementaire européen" est à l’origine de la part prépondérante de l’Union Européenne (UE) dans le choix des destinations (87% du total), explique la même source, notant l’importance de l’Espagne, "où presque la moitié (48%) des fintechs françaises implantées en Europe sont présentes et la forte augmentation des représentations au Royaume-Uni (+ 23% par rapport à 2023)", rapporte la MAP.
Actuellement, le secteur emploie 54.000 personnes dont 43.000 en France (contre 45.000 et 39.000 en 2023), relève-t-on, précisant que près de la moitié des emplois créés en 2024 l’ont été dans le cadre du développement international.
Pour mémoire, l’exercice 2023 avait enregistré (à l’instar de la tech mondiale) une forte contraction des levées de fonds par les startups françaises de la finance (-66%).