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Mais Azzam al-Ahmed, un responsable du Fatah dirigé par le président de l’Autorité palestinien Mahmoud Abbas a estimé qu’il y avait peu de chances pour que le Hamas, le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza accepte de signer cet accord.
“Ils (le Hamas) n’ont aucune intention de signer cet accord le 7 juillet”, a affirmé à l’AFP M. Ahmed.
Le Hamas exige que l’Autorité palestinienne relâche tous les “prisonniers politiques” en faisant référence aux membres du Hamas arrêtés en Cisjordanie par les services de sécurité de l’Autorité palestinienne.
Le Fatah et le Hamas se sont mutuellement accusés de se livrer à une répression dans les territoires respectifs qu’ils contrôlent. Les deux mouvements ont également critiqué les différents groupes de défense des droits de l’Homme qui dénoncent les arrestations arbitraires et les mauvais traitements infligés aux détenus.
“Tout espoir de parvenir à un accord le 7 juillet dépend fondamentalement de la manière dont le Fatah va traiter du dossier des prisonniers politiques”, a affirmé à l’AFP Omar Abdelraziq, un haut responsable du Hamas en Cisjordanie. “Nous espérions régler le dossier de prisonniers arrêtés par l’Autorité palestinienne en Cisjordanie avant de débuter un nouveau round de discussions, malheureusement ils (le Fatah) ont refusé un accord ou de fixer un calendrier pour les libérations”, a-t-il ajouté. Les deux mouvements s’opposent parfois violemment depuis que le Hamas a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en juin 2007.