On avait quelque peu oublié le gars, son passage éphémère tout aussi tonitruant au gouvernement et même cette révoltante histoire de cette fameuse berline qui a coûté en location le double de ce qu’elle aurait coûté en achat. Petite précision qui se veut…rassurante : c’était aux frais du contribuable !
Mais le voilà qui revient à la charge. L’entame de sa campagne s’est faite sur des relents tristement misogynes avant qu’il ne se voie submergé de critiques acerbes et obligé de se confondre en excuses plus ou moins plates.
Nous n’aurons qu’à attendre
que Casa devienne Barcelone
et le RAC, le Barça !
Ce serait là son affaire après tout. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se propose d’être au service de Dar El Beïda. Si c’est pour nous faire subir le même sort que celui de Hanouti, cette expérience du petit commerce qui a été une vraie flopée grâce au génie de ce projet d’idylle, alors non merci !
Par trois fois, le Maroc s’est porté candidat à l’organisation du Mondial du foot. Sans succès. Lui, Belkhayat, il va beaucoup plus loin. Ce sont carrément les Jeux olympiques (excusez du peu) qu’il nous propose. Si Barcelone est ce qu’il est aujourd’hui, c’est grâce aux J.O, soutient-il. Pourquoi pas Casablanca ? ajoute-t-il, et toujours, sans sourciller. Homme de chiffres, en principe, faute de lettres, il a sa petite idée sur le budget que la réalisation de sa géniale de proposition nécessiterait. Quelque chose comme 38 milliards de dirhams. Rien que ça !
Rendez-vous donc en 2028 quand la poule aura des dents et Belkhayat pas une seule. Et puis nous n’aurons qu’à attendre que Casa devienne Barcelone et le RAC, le Barça !
Qui dit mieux ?