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C’est donc sur une surface synthétique à laquelle ils sont trop peu habitués que nos joueurs sont appelés, vendredi (le premier match à 13 h) , samedi et dimanche prochains à défier leurs homologues chypriotes. Le capitaine El Aâraj relativise à ce propos : «C’est une surface qui n’est ni trop lente ni trop rapide. C’est jouable.» Nos joueurs ont dû le constater dès les premiers rebonds. Il y a, cependant, un problème et il a pour nom : Baghdatis. C’est celui-là même qui a sillonné avec bonheur les courts du monde les plus prestigieux et qui est plus est fort pour le moment de sa 41 ème place mondiale qui mène l’équipe de Chypre. C’est donc en toute logique que l’on part perdant pour les deux matchs où ce joueur star mais humble et sympa aura à affronter les nôtres. Natif de Limassol, il a demandé à ce que la rencontre contre le Maroc s’y déroule.
On ose alors espérer gagner les deux autres simples tout en réussissant l’exploit en double. Mis à part Marcos Baghdatis, les trois autres sont des jeunes qui n’ont même pas de classement ATP. Ils ont pour noms : Cuzdrioreau, Hadji, Ceorgiou et Kyrajjis. En attendant d’être fixé sur le sort d’une confrontation qui a pour enjeu le maintien dans le groupe II de la zone Euro-Afrique, il ne serait, peut-être pas superflu de rappeler le respect dont jouit le tennis marocain à Chypre avec surtout un nom qui revient le plus souvent. Celui de Younès El Aynaoui.