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Tout y passe, tout ce qui peut éventuellement apporter des voix est tenté, voire entrepris ! Les uns font des travaux d’aménagement, d’embellissement qui devaient normalement être réalisés depuis longtemps, d’autres se lancent dans des opérations de charme auprès de la population, alors que certains vont jusqu’à violer les dispositions de la Charte communale ; l’important pour eux est de faire le plein de voix ou tout au moins ce qu’ils espèrent.
Décidément certains pseudo-représentants du peuple sont incorrigibles. Ils donnent même l’impression qu’ils vivent en dehors des évolutions que connaît le Maroc.
Ils ne savent pas que le pays est passé à une autre ère. Il a depuis juillet une nouvelle Constitution qui renforce les pouvoirs exécutif et législatif, et qui ne devrait plus se prêter aux jeux de magouilles pratiquées.
D’ailleurs, le Souverain, dans son discours d’ouverture de la cinquième année législative, a donné une leçon magistrale de démocratie au peuple, soulignant que chaque pouvoir doit assumer la plénitude de ses responsabilités.
Ainsi, les choses sont claires!
Le peuple est sollicité pour choisir, donc élire les meilleurs profils pour le représenter sous la Coupole.
Le 25 novembre prochain, on saura donc si les Marocains se sont réconciliés avec la politique.
On peut d’ores et déjà avancer que pour la prochaine consultation législative, il y aura plus de votants que les fois précédentes. Les Marocains ont reçu des gages qui les encouragent à faire le déplacement aux bureaux de vote. Encore faut-il que les falsificateurs des élections comprennent enfin que leur temps est révolu et que la place est désormais aux candidats qui veulent bien mériter la confiance mise en eux afin d’agir, au nom du peuple, en vue de légiférer et décider des lois pour diriger le pays.
Une lourde responsabilité qui ne doit revenir qu’à celles et ceux qui sont capables de l’assumer par leur probité, leurs compétences et expériences.