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Il a, néanmoins, laissé transparaître une note d’intransigeance de mauvais aloi en soulignant que «le gouvernement demeure ouvert à toute modification positive permettant de réaliser les objectifs de la réforme et en même temps améliorer son caractère légal dans le cadre du Parlement». Il a, par ailleurs, réitéré l’engagement du gouvernement à aller de l’avant dans cette réforme par des mesures sociales au profit des familles.
Contacté par Libé, le secrétaire général de la FDT, Abdelhamid Fatihi, a tenu à préciser que «les centrales ayant pris part à la réunion de la commission des finances ont exigé le gel des textes jusqu’à l’obtention d’un consensus autour de ces projets, mais dans le cadre du dialogue social».
Les syndicats sont prêts à assister à la réunion de cette commission, a-t-il fait savoir avant d’ajouter que la balle est dans le camp de Benkirane qui doit convoquer une réunion et préciser la date de sa tenue.
Pour Abdelhamid Fatihi, la FDT, comme les autres syndicats d’ailleurs, refuse d’adopter tout projet de loi contraire aux intérêts de la classe ouvrière et de dissocier l’examen du dossier de la retraite des autres points inscrits dans leur cahier revendicatif
Pour rappel, les syndicats, déterminés plus que jamais à bloquer l’examen des projets de loi relatifs aux régimes de retraite à la Chambre des conseillers, avaient menacé mercredi dernier d’observer une grève de la faim au Parlement si la séance n’était pas levée. Cette décision serait conduite si l’examen desdits projets de loi est de nouveau programmé, affirment lesdits syndicats.
Les centrales syndicales les plus représentatives avaient organisé également mercredi dernier un sit-in devant le Parlement pour protester contre la programmation de l’examen des projets de loi relatifs aux régimes de retraite en commission et non pas dans le cadre du dialogue social.