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On se demande également quelle est la part de ce secteur laissé pour compte dans la manne financière que vient de recevoir la fédération destinée justement à la mise à niveau du football et des équipes nationales. Mais la fédé n’a jamais considéré le foot féminin comme un secteur à part entière à émanciper mais une simple vitrine. Pas plus ! On se rappelle que la FIFA verse toujours à la fédé 400 millions de centimes annuellement pour développer ce secteur. Cependant les clubs ne reçoivent aucune subvention si ce n’est les primes versées aux clubs qualifiés au play off. Ou va l’argent de Blatter ? On n’en sait absolument rien ! Il est certain que la gestion du foot féminin qui a toujours été au masculin a été faite dans l’improvisation, la précipitation et la dilapidation des deniers. Pire, cette gestion a été toujours été faite dans la méprise, l’indifférence et le dédain. L’arrivée de l’équipe A2F annoncée comme celle du changement, du pragmatisme et de la modernité doit faire en sorte que le foot féminin bénéficie de sa part d’intérêt, de restructuration et de l’argent versé par des établissements publics sur ordre du Souverain. Mais lorsqu’on voit la composition de la commission qui veille aux destinées du foot féminin, on est enclin au pessimisme d’autant qu’on a repris les mêmes personnes et les mêmes mentalités pour refaire les mêmes bévues et obtenir les mêmes résultats.