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Par ailleurs et toujours d’après le ministre, il sera même procédé à un recensement national de l’ensemble des associations et organisations de la société civile en vue de fournir une base de données globale à même de constituer une plateforme de planification stratégique pour tous les acteurs gouvernementaux.
Et le cadre législatif ? Il n’est pas en reste. En effet, ce volet de la question a été largement abordé par le ministère puisque des textes de loi seront soumis en 2013 au Parlement. Il s’agit en l’occurrence du texte relatif à la révision et à la modification de la loi 75.00 régissant les associations et celui se rapportant au bénévolat.
Afin de donner un coup de pouce aux associations, des programmes seront mis en œuvre par le ministère. Il s’agit en l’occurrence du programme «Hakama» (gouvernance) pour assurer la formation des membres des associations en matière de gestion organisationnelle et financière. Le programme «Tarafoue» (plaidoirie) auprès des instances élues est également prévu ainsi que le programme «Taahil» (mise à niveau) destiné aux employés des associations en matière de gestion.
C’est d’un programme très ambitieux qu’il s’agit en fait. Mais serait-il à même de rétablir les ponts déjà ébranlés par le clash survenu entre Choubani et la société civile au sujet du financement des associations ? Ces dernières sont-elles prêtes à tourner la page des attaques dont elles ont fait l’objet ?