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Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont en fait étudié les données de quelque 1.000 personnes âgées de 20 à 85 ans et qui ont participé à un essai sur un médicament contre le cholestérol. Plus concrètement, ils ont observé l’Indice de masse corporelle (IMC) calculé par le rapport du poids sur la taille au carré. Celui-ci permet d’estimer la corpulence des personnes et aide à évaluer le risque de maladies liées à un excès ou à une insuffisance de poids. Les résultats obtenus ont alors montré que les participants qui mangeaient régulièrement du chocolat avaient tendance à ingurgiter davantage de calories que ceux qui consommaient moins de cette friandise.
En revanche, les adeptes du chocolat présentaient des IMC inférieurs aux autres. Une constatation faite une fois l’âge, le sexe et l’activité physique de chaque participant pris en compte. “L’effet est allé jusqu’à une différence de 2,3 à 3,2 kilogrammes entre les personnes qui mangeaient cinq portions de chocolat par semaine et celles qui n’en mangeaient pas”, explique Beatrice Golomb de l’Université de Californie de San Diego citée par Gulfnews.com.