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Cette décision a été prise lors de sa réunion tenue le 10 janvier à Casablanca ; elle vise à intégrer un cadre transparent à même de garantir de meilleures conditions de lutte et de militantisme dans le secteur des finances.
Dans son communiqué, la commission administrative de ce syndicat a recommandé à son Bureau national de prendre les mesures organisationnelles, réglementaires et de gestion appropriées en vue de la tenue dans les brefs délais du congrès de fusion de ce Syndicat national des finances avec le syndicat démocratique du même secteur.
Après avoir pris note des résultats du dialogue social et des différentes actions organisationnelles et des rencontres tenues par le Bureau national au niveau sectoriel, la commission administrative exhorte le ministre de l’Economie et des Finances entamer le dialogue social et régler les questions en suspens.
A savoir celles des indemnités semestrielles, des inspecteurs assistants, de la dynamisation du statut de l’Association des œuvres sociales et sa démocratisation, des libertés syndicales, entre autres.
Dans le même cadre, la CA a appelé, dans son communiqué, à l’élaboration d’un programme de lutte, pour protester contre les résultats du dialogue social, et insisté sur l’urgence d’appliquer la promotion exceptionnelle, de revoir les décrets relatifs à la promotion, le système de notation, les examens professionnels, de trouver une solution au dossier des agents de services et l’amélioration des salaires des employés du secteur.
Il est à rappeler que le 26 octobre 2008, la CDT avait interdit au Conseil national de son syndicat des finances de se réunir et d’accéder au complexe culturel de Sidi Belyout.
Le conflit au sein de la CDT était à l’origine de la décision de Noubir Amaoui de retirer ses députés à la Chambre des conseillers sans pour autant les priver de leurs émoluments. Mohamed Daïdaa qui était le secrétaire général du SNF s’est refusé à obtempérer à cette décision unilatérale, d’où le lever de boucliers dont les conséquences se font ressentir.