-
L'ouverture du SGG sur l'université à même de renforcer la connaissance du système juridique national
-
Sirha Lyon 2025 : Le Maroc en route pour le Bocuse d’or, les Coupes du monde de la pâtisserie et des traiteurs
-
La station de ski d'Oukaïmeden retrouve sa splendeur avec les premières chutes de neige
-
Dakhla : Rencontre sur la lutte contre la violence en milieu scolaire
-
La nouvelle gare routière d'Es-Semara ouvre ses portes
«Sur la base des évaluations pré-électorales faites par plusieurs observateurs internationaux indépendants, le Maroc confirme encore une fois son engagement pour la promotion de la bonne gouvernance dans le domaine de la gestion des affaires publiques en réponse aux aspirations du peuple marocain», souligne le LCHR, dans un communiqué parvenu jeudi soir à la MAP.
Tout en félicitant le gouvernement marocain pour le progrès et la rapidité avec laquelle un important dispositif juridique a été mis en place pour réglementer et gérer la campagne et le processus électoraux et assurer le succès de ces échéances, Kathryn Porter Cameron, présidente du LCHR et fondatrice du caucus des droits de l'Homme au Congrès américain, a salué le nombre en hausse de jeunes candidats ainsi que la multiplication par deux des sièges parlementaires réservés aux femmes, qui ont passé de 30 en 2007, à 60 actuellement.
Le LCHR relève également que dans l'évaluation pré-électorale de la mission d'experts du National democratic institute (NDI), qui s'est rendue dernièrement au Maroc, cette organisation non gouvernementale qui œuvre pour le renforcement de la démocratie à travers le monde «a exprimé sa satisfaction de l'ouverture et de la sincérité de l'ensemble des parties concernées» par cette opération. Le NDI, poursuit-on de même source, a également noté qu'«en dépit d'un délais de courte durée, l'environnement électoral actuel est marqué par un nombre de facteurs positifs», relevant à cet égard que ces échéances électorales constituent «la suite logique» du référendum constitutionnel de juillet dernier. Le Maroc se trouve par conséquent dans une «phase transitoire» devant mener vers une mise en oeuvre complète de la nouvelle Constitution, note encore la présidente du Leadership council for human rights, soulignant que le Maroc montre ainsi une nouvelle fois «l'exemple sur la manière avec laquelle des réformes progressives et pacifiques peuvent bénéficier aux peuples de la région».