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Le MAS qui n’a pas su garder le résultat, un peu comme signifier une déveine qui ne semble pas vouloir le quitter, ne doit s’en prendre qu’à lui-même. Il avait semblé plier le match à 2-0 mais c’était mésestimer la teigne des Gadiris.
Bien du chemin reste encore à faire pour les Fassis qui, malgré quelques soubresauts n’en finissent pas de manger du pain noir et restent scotchés à la dernière place en bons porteurs du bonnet d’âne à une longueur du CAK et de l’IZK.
Avec les quatre réalisations de lundi, ce sont dix-huit buts qui ont été inscrits pour six victoires dont une at-home, celle de l’IZK face au CAK et deux nuls dont l’éternel vierge enregistré à El Jadida entre le DHJ et le FUS. On retiendra principalement de cette treizième journée la chute (la première cette saison) du leader, le WAC, à Safi et du KACM face à l’ASFAR à Rabat, ce qui a permis à une meute de poursuivants d’ambitionner les lauriers de fin de saison à l’image de coucou qui revoilà, le Raja, grand bénéficiaire après son large succès sur le CRA et l’OCK vainqueur à l’usure du KAC.
Si le Wydad s’est fait rattraper, c’est que ce fameux rythme de champion vient à lui manquer, en treize rencontres, il n’a en sa possession que 24 points pour 39 possibles. Ces quinze points qui lui ont filé sous les crampons sont aussi l’écart qu’il compte par rapport à la lanterne rouge, c’est dire la faiblesse de ce bon vieux championnat où pratiquement toutes les équipes se valent. En d’autres cieux, sur les pelouses de la Bundesliga d’exemple, cette différence à un point près entre le WAC et le MAS est la même que celle entre le Bayern Munich et son second Wolfsburg. Ah qu’il est loin, loin le lointain bout du tunnel ici-bled ! No Comment !