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“Aujourd’hui, le Maroc joue parmi les huit meilleures équipes du monde, malgré les contraintes des blessures. Nous devons continuer notre travail, et croire en nos chances”, a indiqué Dguig dans une déclaration à la presse.
Le cadre national n’a pas manqué de mettre en avant les écarts en termes de compétitivité entre les équipes asiatiques, dont l’Iran, qui jouent davantage de matches internationaux officiels par rapport aux sélections africaines, ajoutant le Maroc a remédié à cette disparité en multipliant les matches amicaux.
“Il faut savoir que les équipes asiatiques jouent la Coupe continentale toutes les deux années et la Ligue des champions chaque année, en plus des compétitions des sous-régions, alors qu’en Afrique, il n'y a qu'une Coupe continentale qui se joue en dix jours”, a relevé Dguig.
“C’est là que la Fédération Royale marocaine de football a joué un rôle important en organisant plusieurs matchs amicaux pour la sélection nationale, sans lesquels on serait déjà éliminés”, a-t-il fait remarquer.
Dguig a par ailleurs relevé que le match contre l'Iran a été géré différemment par rapport à celui contre le Portugal. “J’ai déjà dit que ce match sera différent de celui joué contre le Portugal. Au premier tour, l’enjeu est de se qualifier. Contre le Portugal, c’était notre équipe qui prenait l’initiative et commettait des erreurs”, a-t-il indiqué.
“Aujourd’hui, nous avions le temps de gérer le match, nous n’étions pas pressés. La fraîcheur physique nous a permis de marquer quatre buts lors de la première mi-temps, mais en deuxième, elle nous a fait défaut et ça, nous le savions à l’avance, car l’équipe tournait avec moins de joueurs que l’adversaire”, a-t-il expliqué.
“Alors nous avons essayé de gérer la partie tactiquement. Nous avons recouru à la défense de zone, nous avons diversifié les schémas de jeu entre 2-2 et 3-1. Des fois, nous avons effectué plusieurs changements en une minute, pour faire tourner au maximum le groupe”, a-t-il précisé.