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Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
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Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie interpelle l’Exécutif au sujet de l’avenir du commerce extérieur, des infrastructures sportives, du phénomène des résidus de constructions dans les villes, entre autres
Ainsi, à l’occasion des discussions générales parlementaires autour du projet de loi de Finances au titre de l’année 2024, le président du Groupe d’opposition ittihadie, Youssef Aïdi, a illustré cet état de faits par un cas éloquent qui révèle l’échec cuisant de l’Exécutif quant à la résolution des difficultés et problèmes affectant «la famille de l’enseignement» et hypothéquant l’avenir du pays.
En effet, l’adoption du décret relatif au statut particulier des fonctionnaires du secteur de l’éducation nationale et ce qui s’en est suivi comme larges mouvements de protestation et de contestation paralysant ce secteur vital et privant des millions d’élèves de la poursuite régulière de leurs études, ont révélé de grands dysfonctionnements.
Le président du Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des conseillers a rappelé que le secteur de l’enseignement, tous niveaux confondus, est un secteur vital
stratégique quant au présent et à l’avenir du pays de même qu’il constitue « une réelle locomotive vers l’édification d’une société cohésive et développée sur les plans écono
mique, industriel et civilisationnel ».
Par conséquent, a-t-il souligné, l’on ne peut s’aventurer dans des initiatives de bricolage et des projets indécis et approximatifs dénués de l’engagement et du sérieux préconisés.
Le conseiller parlementaire usfpéiste a mis l’accent, à cet égard, sur l’impératif de l’opérationnalisation effective de l’approche participative en impliquant tous les acteurs
concernés par la réforme en question.
« C’est le moyen le plus efficient et la voie la plus courte vers la mise en œuvre des réformes nécessaires pour de tels secteurs », a-t-il mis en avant, en ajoutant que « c’est le cheminement le plus adéquat pour atteindre les objectifs escomptés et épargner le pays de toute situation de marasme et de tension, pouvant occasionner un climat d’instabilité et affecter la paix sociale sans lequel l’on ne peut avancer posément sur le terrain de la réforme et du changement escompté ».
Là-dessus, Youssef Aïdi, dans le cadre du débat général autour du PLF, a présenté quelques observations qu’il a jugées essentielles concernant le projet gouvernemental.
Les principales révisions sur lesquelles s’appuie le projet gouvernemental semblent dépasser la réalité économique et sociale du pays et s’embourber dans « un optimisme »
démesuré déclinant un état d’espérances aussitôt estompé frôlant le désespoir et la frustration et annihilant toute crédibilité.
Par ailleurs le conseiller du Groupe parlementaire d’opposition ittihadie a abordé la problématique de la pérennité du financement des projets sociaux (…) le constat de
l’inexistence d’une réelle réforme fiscale se fondant sur les principes de solidarité et d’équité à même de favoriser la confiance des investisseurs nationaux et étrangers.
Rachid Meftah
Le Chef du gouvernement appelle les syndicats de l'enseignement au dialogue lundi prochain
"Nous sommes convaincus que le dialogue demeure l'unique voie pour parvenir à des solutions efficientes aux problèmes soulevés", a souligné M. Akhannouch à l'ouverture des travaux du Conseil de gouvernement, appelant les syndicats à tenir lundi une séance de dialogue sectoriel.