La Fondation Chouaïb Sdaiki Doukkali, a organisé la deuxième édition du Salon du livre d’histoire d’El Jadida sous le thème "El Jadida, une histoire et des hommes", du 26 au 28 avril à l’Espace de la mémoire historique de la résistance.
Cette édition, initiée en partenariat avec le Haut-Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’Armée de libération et l’Association INMAA pour le développement durable, ambitionne de contribuer à la promotion et au soutien des œuvres et productions intellectuelles et à l’animation culturelle de la ville d’El Jadida.
Cette édition, qui porte le nom de Haj Mohamed Sdaiki en reconnaissance du rôle important qu'il a joué dans la préservation du patrimoine de la région, a été marquée par la création du "Prix d'histoire Mohammed Sdaiki", récompensant des œuvres visant à préserver l'histoire et les archives de la région des Doukkala.
A cette occasion Moulay Ahmed Sdaiki, président de la Fondation Chouaib Sdaiki Doukkali, a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que la deuxième édition du salon vise à créer une dynamique culturelle et intellectuelle à El Jadida et à présenter aux chercheurs et lecteurs de nouvelles publications traitant de l'histoire de la région, ainsi qu’à créer un espace de rencontre et d’échange en vue d'instaurer un climat propice à l'aide à la réflexion sur le passé et l'histoire d'El Jadida, notant que cette édition s’est distinguée par la participation d’une pléiade d'intellectuels marocains et étrangers.
Il a ajouté que le salon, dédié aux ouvrages d'histoire, a attiré des historiens et des chercheurs tels qu'Ahmed Bouchareb, universitaire et spécialiste de l'histoire commune entre le Maroc et le Portugal, Ahmed Motafaker, auteur d'un livre sur les notables et saints des Doukkala, ainsi que les journalistes et écrivains Khnata Bennouna, Mustafa Jmahari et Noureddine Soufi.
Ce salon a été marqué par des séances de signature de nouveaux livres et de publications et des conférences intellectuelles animées notamment par la professeur Nilcya Delanoe, historienne et écrivaine, la chercheure Laurence Delord et Ahmed Bouchareb, historien et spécialiste des relations maroco-portugaises, qui a abordé le problème de la pénurie d'eau dans la région des Doukkala à travers l'histoire, notamment à l'époque portugaise.
Cette édition, initiée en partenariat avec le Haut-Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’Armée de libération et l’Association INMAA pour le développement durable, ambitionne de contribuer à la promotion et au soutien des œuvres et productions intellectuelles et à l’animation culturelle de la ville d’El Jadida.
Cette édition, qui porte le nom de Haj Mohamed Sdaiki en reconnaissance du rôle important qu'il a joué dans la préservation du patrimoine de la région, a été marquée par la création du "Prix d'histoire Mohammed Sdaiki", récompensant des œuvres visant à préserver l'histoire et les archives de la région des Doukkala.
A cette occasion Moulay Ahmed Sdaiki, président de la Fondation Chouaib Sdaiki Doukkali, a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que la deuxième édition du salon vise à créer une dynamique culturelle et intellectuelle à El Jadida et à présenter aux chercheurs et lecteurs de nouvelles publications traitant de l'histoire de la région, ainsi qu’à créer un espace de rencontre et d’échange en vue d'instaurer un climat propice à l'aide à la réflexion sur le passé et l'histoire d'El Jadida, notant que cette édition s’est distinguée par la participation d’une pléiade d'intellectuels marocains et étrangers.
Il a ajouté que le salon, dédié aux ouvrages d'histoire, a attiré des historiens et des chercheurs tels qu'Ahmed Bouchareb, universitaire et spécialiste de l'histoire commune entre le Maroc et le Portugal, Ahmed Motafaker, auteur d'un livre sur les notables et saints des Doukkala, ainsi que les journalistes et écrivains Khnata Bennouna, Mustafa Jmahari et Noureddine Soufi.
Ce salon a été marqué par des séances de signature de nouveaux livres et de publications et des conférences intellectuelles animées notamment par la professeur Nilcya Delanoe, historienne et écrivaine, la chercheure Laurence Delord et Ahmed Bouchareb, historien et spécialiste des relations maroco-portugaises, qui a abordé le problème de la pénurie d'eau dans la région des Doukkala à travers l'histoire, notamment à l'époque portugaise.