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L'objet du différend n'est autre que le coach, Badou Zaki, annoncé dans un premier temps partant, avant de revenir sur sa décision.
Les tractations et les réunions ont battu leur plein lundi, au lendemain d'une qualification dans la douleur des Rouge et Blanc aux dépens des Syriens de l'Union d'Alep au tour des quarts de finale de la Ligue arabe des clubs champions.
Pour le bureau dirigeant du club, l'heure est toujours au double jeu. Il a tenu à conforter Zaki dans son poste, mais quelques jours auparavant, les mêmes responsables n'ont pas manqué d'entrer en contact avec le technicien français, Decastel, en vue de prendre les commandes du club.
Il faut dire qu'après un mi-parcours en championnat local ponctué par des hauts et des bas, certains dirigeants, sous la pression du public, attendaient au tournant le moindre faux pas de l'ex-sélectionneur national et ses protégés.
Et le match contre l'Union d'Alep, qui vient juste après la défaite du WAC à domicile en championnat contre le Difaâ Hassani d'El Jadida, constituait la dernière chance de l'actuel staff technique des Rouges.
Cette situation n'était pas faite pour plaire à Badou Zaki, connu pour sa rigueur et son professionnalisme.
Il voulait jouer carte sur table et ne pas opter pour des bas stratèges où le dirigeant s'en tire à bon compte et c'est à l'entraîneur de payer les pots cassés.
A l'issue du match de dimanche, Zaki a manifesté sa grogne à sa façon, en refusant d’adresser la parole à quiconque, renvoyant la balle dans le camp des dirigeants.
Bref, un bras de fer fait pour nuire au club. Et l’avenir des Rouges risque fort bien de ne pas être rose, tant que toutes les composantes du club sont hantées par le résultat immédiat afin de calmer les esprits chauffés des supporters.