Ainsi, la reprise du championnat est prévue entre le 23 et le 25 de ce mois. Les 16ème, 17ème et 18ème manches se joueront dans leur intégralité, et c’est le 19ème acte, programmé entre le 13 et le 15 février prochain qui sera amputé de trois rencontres, à savoir RSB-OCK et RCA-DHJ, reportées respectivement au mardi 17 et mercredi 18 février, au moment où MAT-OCS sera disputé le 25 dudit mois.
Comme précité, l’ajournement de ces confrontations a été dicté par l’engagement du Raja et du MAT en Ligue des champions et de la RSB en Coupe de la CAF.
Le week-end du 14-15 février, pour le compte du tour préliminaire, le Raja accueillera les Diables Noirs du Congo alors que le Maghreb de Tétouan se produira en dehors de ses bases contre les Maliens du Club Olympique de Bamako.
Quant à la RSB, qui prendra part pour la première fois de son histoire à un tournoi continental, elle recevra au stade municipal de Berkane le Onze Créateurs du Mali. Bien entendu, le deuxième représentant du football national en Coupe de la CAF, le FUS de Rabat, sera exempt de ce tour de chauffe.
Pour ce qui est de la 20ème journée du championnat qui se déroulera entre les 20, 21 et 22 février, elle sera au goût de l’achevé, contrairement à la 21ème (27, 28 février et 1er mars) qui sera tronquée des matches MAT-OCK, RSB-MAS et RCA-HUSA. Le calendrier émis fait état uniquement de la date du match MAT-OCK qui aura lieu le 4 mars.
En attendant, les clubs de l’Elite 1 continuent leur préparation, tâchant d’exploiter à bon escient cette trêve hivernale de trois semaines. La phase retour s’annonce des plus ardues et chaque protagoniste tentera d’en profiter en vue de terminer la saison sur de bonnes notes.
Pour rappel, lors de la phase aller, c’est le WAC qui est parvenu à décrocher le titre de champion d’automne avec 26 unités au compteur. Il ne dispose que d’une petite longueur sur son rival rajaoui, auteur d’un probant retour au devant de la scène, tandis que le KACM, l’OCK, le HUSA, le MAT, le DHJ ou encore le FUS n’ont pas encore dit leur dernier mot et ne sont pas à écarter du sprint final. Il en est de même pour les formations qui pataugent en bas du tableau devant tirer profit de chacune de leurs sorties afin de fuir la zone rouge menant tout droit aux affres de l’étage inférieur.
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