-
La coopération technique avec la CEDH au centre de la visite d’une délégation judiciaire marocaine au Conseil de l’Europe
-
Maroc/Conseil de l'Europe : Clôture du programme conjoint d'appui au mécanisme national de prévention de la torture
-
Omar Zniber souligne les efforts déployés par la présidence marocaine du CDH en vue de la réforme des statuts du Conseil
-
Habib El Malki :Le Maroc a pris plusieurs initiatives pour mettre à profit les avancées des technologies numériques en les intégrant dans les processus éducatifs
-
L'Initiative Royale pour l'Atlantique mise en avant à la 5e conférence "Afrique XXI" de l'IPDAL
A partir de cette échéance, des milliers de Marocains en situation irrégulière n'auront plus la possibilité de bénéficier de la couverture médicale. A cet effet, ils n'auront plus le droit d'accéder aux centres hospitaliers sauf dans les services d'urgence. Pire encore, certaines régions ont commencé à mettre en place ces mesures, en l'occurrence la région de Catalogne qui a, à partir du premier août courant, introduit de nouvelles taxes sur les médicaments comme le paiement par les patients d'un euro par ordonnance. Seules les femmes enceintes et les enfants seront acceptés dans les services de gynécologie et de pédiatrie. Les autres cas de maladie n'auront qu'à se rendre aux urgences pour être traités.
A noter que ces mesures d'austérité ne concernent pas que la santé mais aussi l'éducation. Les frais d'inscription dans les établissements publics espagnols vont augmenter dès la prochaine rentrée. Ce qui remet en cause le principe de la gratuité de l'enseignement obligatoire.
La restriction de l'accès au système de santé publique permettra à l'Etat d'économiser quelque 500 millions d'euros. Cette mesure concernera plus de 500.000 immigrés sans-papiers établis en Espagne, selon le gouvernement. Parmi eux, des milliers de ressortissants marocains en situation irrégulière ou ayant perdu leurs papiers à cause du chômage.