La musique marocaine est à l'honneur lors de la 27ème foire méditerranéenne de spectacles et de racines traditionnelles de Manresa (Nord-est de l’Espagne) qui se tient du 10 au 13 octobre.
Cet événement, visant à promouvoir les arts enracinés dans les traditions, accueillera plusieurs artistes maghrébins qui explorent de nouvelles voies à partir de la culture populaire de leur pays, selon un communiqué des organisateurs.
Le Maroc marque sa présence à cette foire avec une contribution significative à travers la richesse de sa culture, notamment grâce à la performance de l'artiste Layla Chakir. Originaire d’Oujda, elle propose une fusion innovante des styles traditionnels nord-africains avec le rock progressif.
Sa musique, inspirée de genres tels que la reggada, l'aarfa, le gharnati, ainsi que le raï et le chaâbi, a déjà été l’un des moments forts de la programmation.
Figurant également au programme, le duo Djamara revisite les musiques ancestrales gnawa en les fusionnant avec des sonorités contemporaines. Formé par Simoh Bouchra et Boualem Fedel, ce groupe offre une nouvelle dimension de cet héritage culturel, avec des influences modernes, précise le communiqué.
Par ailleurs, Widad Mjama, première femme rappeuse du Maghreb, rendra hommage à la tradition musicale aïta, un art poétique et musical ancestral des zones rurales du Maroc. Aux côtés du producteur Khalil Epi, elle présentera une performance mêlant tradition et modernité avec leur projet "Aïta Mon Amour".
Rendez-vous annuel des créations artistiques inspirées des cultures méditerranéennes, la foire méditerranéenne de Manresa se veut un espace de rencontre et de collaboration entre professionnels de l’art et de la culture. Elle aspire également à rapprocher la production artistique du grand public, tout en favorisant les échanges et la coopération entre les acteurs du secteur.
Cet événement, visant à promouvoir les arts enracinés dans les traditions, accueillera plusieurs artistes maghrébins qui explorent de nouvelles voies à partir de la culture populaire de leur pays, selon un communiqué des organisateurs.
Le Maroc marque sa présence à cette foire avec une contribution significative à travers la richesse de sa culture, notamment grâce à la performance de l'artiste Layla Chakir. Originaire d’Oujda, elle propose une fusion innovante des styles traditionnels nord-africains avec le rock progressif.
Sa musique, inspirée de genres tels que la reggada, l'aarfa, le gharnati, ainsi que le raï et le chaâbi, a déjà été l’un des moments forts de la programmation.
Figurant également au programme, le duo Djamara revisite les musiques ancestrales gnawa en les fusionnant avec des sonorités contemporaines. Formé par Simoh Bouchra et Boualem Fedel, ce groupe offre une nouvelle dimension de cet héritage culturel, avec des influences modernes, précise le communiqué.
Par ailleurs, Widad Mjama, première femme rappeuse du Maghreb, rendra hommage à la tradition musicale aïta, un art poétique et musical ancestral des zones rurales du Maroc. Aux côtés du producteur Khalil Epi, elle présentera une performance mêlant tradition et modernité avec leur projet "Aïta Mon Amour".
Rendez-vous annuel des créations artistiques inspirées des cultures méditerranéennes, la foire méditerranéenne de Manresa se veut un espace de rencontre et de collaboration entre professionnels de l’art et de la culture. Elle aspire également à rapprocher la production artistique du grand public, tout en favorisant les échanges et la coopération entre les acteurs du secteur.
Bouillon de culture
Exposition collective
Une exposition collective, sous le thème "L'art, nourriture de l'âme" des artistes Hassan Laamiri et Mohamed Baizzou, a été inaugurée, vendredi à la galerie Mohamed El Kacemi à Fès.
Organisée par la direction régionale de la culture à Fès-Meknès, cette exposition donne à voir jusqu'au 25 octobre courant, plus de 30 tableaux de différentes dimensions ainsi que des figurines d’armes. Ces tableaux traitent de la calligraphie arabe, du patrimoine traditionnel marocain et amazigh en particulier, et de la nature.
Le programme de l'exposition comprend également un hommage au professeur de langue anglaise et doyen actuel de la faculté des lettres et des sciences humaines Dhar Mehraz de Fès, Mohamed Moubtassim, en reconnaissance de ses contributions au service de la recherche scientifique et de l’animation de la scène culturelle et littéraire de la ville.
Dans une déclaration à la MAP, l'artiste plasticien Mohamed Baizzou a indiqué qu'une partie de l'exposition comprend des tableaux de la calligraphie arabe et de la nature, alors que l'autre partie présente des figurines d'armes datant de l'époque médiévale, ajoutant que l'idée a été inspirée par la récente escalade des violences et des guerres dans la région du Moyen-Orient.
L'artiste a expliqué que les figurines "incarnent le courage, la bravoure, la patience, la résistance et la défense de la terre et de l'identité", soulignant qu’il s’agit d’une expérience unique en dépit des difficultés rencontrées dans la conception de ces figurines.
De son côté, l’artiste Hassan Laamiri a souligné que cette exposition est organisée chaque année, mais la nouveauté de l’édition de cette année réside dans les figurines, ajoutant que l'exposition vise principalement à encadrer la génération montante et les étudiants durant une période de deux semaines.
Une exposition collective, sous le thème "L'art, nourriture de l'âme" des artistes Hassan Laamiri et Mohamed Baizzou, a été inaugurée, vendredi à la galerie Mohamed El Kacemi à Fès.
Organisée par la direction régionale de la culture à Fès-Meknès, cette exposition donne à voir jusqu'au 25 octobre courant, plus de 30 tableaux de différentes dimensions ainsi que des figurines d’armes. Ces tableaux traitent de la calligraphie arabe, du patrimoine traditionnel marocain et amazigh en particulier, et de la nature.
Le programme de l'exposition comprend également un hommage au professeur de langue anglaise et doyen actuel de la faculté des lettres et des sciences humaines Dhar Mehraz de Fès, Mohamed Moubtassim, en reconnaissance de ses contributions au service de la recherche scientifique et de l’animation de la scène culturelle et littéraire de la ville.
Dans une déclaration à la MAP, l'artiste plasticien Mohamed Baizzou a indiqué qu'une partie de l'exposition comprend des tableaux de la calligraphie arabe et de la nature, alors que l'autre partie présente des figurines d'armes datant de l'époque médiévale, ajoutant que l'idée a été inspirée par la récente escalade des violences et des guerres dans la région du Moyen-Orient.
L'artiste a expliqué que les figurines "incarnent le courage, la bravoure, la patience, la résistance et la défense de la terre et de l'identité", soulignant qu’il s’agit d’une expérience unique en dépit des difficultés rencontrées dans la conception de ces figurines.
De son côté, l’artiste Hassan Laamiri a souligné que cette exposition est organisée chaque année, mais la nouveauté de l’édition de cette année réside dans les figurines, ajoutant que l'exposition vise principalement à encadrer la génération montante et les étudiants durant une période de deux semaines.