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Cette mauvaise nouvelle pour l’économie marocaine vient appuyer les prévisions faites auparavant par le Haut commissariat au plan (HCP) et par le centre marocain de conjoncture (CMC).
Selon l’organisation internationale, qui a récemment félicité le Royaume pour sa décision d’indexer le prix des carburants, la croissance nationale devrait être impactée par la réduction de la production du secteur agricole non irrigué, après la récolte exceptionnelle qui a marqué l’année 2013.
Le gouvernement, quant à lui, ambitionne une croissance économique de 4% pour l’année prochaine, selon la lettre de cadrage récemment diffusé par le chef du gouvernement, Abdellilah Benkirane
Par ailleurs, le FMI a prévu un taux de 2,9% pour la hausse du PIB mondial en 2013. Cette hausse a été amputée de 3 dixièmes de point par rapport à ses précédentes prévisions.
L’institution multilatérale s’inquiète certes des effets néfastes du conflit sur le budget américain mais justifie principalement sa révision par le ralentissement économique des pays émergents dont la croissance n’atteindrait plus que 4,5% au lieu des 5% espérés encore l’été dernier. Cette moindre activité de ces pays résulte de deux facteurs, l’un est lié à des raisons de cycle (Afrique du sud, Russie), l’autre inhérent à un recul du potentiel de production (Chine et Inde). Enfin, celle du Maroc est anticipée à 5,1%.