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Ce choix est fait pour faire face à la politique du gouvernement et aux nombreuses atteintes qu’il a portées aux droits et acquis de la classe ouvrière et pour constituer un front national fort à même de répondre aux revendications justes et légitimes des classes laborieuses, poursuit ledit document.
S’agissant du dialogue social, en panne depuis fort longtemps, la FDT fait savoir qu’il ne peut y avoir de stabilité politique sans une stabilité économique et sociale et que la manière dont est géré ce dossier traduit clairement la régression qui marque la gestion des affaires publiques par l’Exécutif et le manque de volonté de sa part d’ouvrir un dialogue sérieux et responsable avec les différents partenaires sociaux.
Par ailleurs, tout en appelant à l’adoption d’une approche globale quant aux réformes que le gouvernement compte entreprendre notamment au niveau des Caisses de retraite ou de la Caisse de compensation, la centrale syndicale met en garde contre toute mesure prise unilatéralement par le gouvernement consolidant sa vision d’exclusion visant la classe ouvrière et rejette toute mesure dont les frais seront supportés par la classe ouvrière et qui ferait fi de la portée sociale de la réforme attendue.
Elle a également appelé le gouvernement à respecter les droits et les libertés syndicales et dénoncé toute forme de restriction des activités syndicales dont sont victimes les militants des différents syndicats pour museler la classe ouvrière dans le secteur public et privé.
Dans son communiqué, la FDT a exprimé son soutien total à la femme marocaine et a appelé à la mise en œuvre des dispositions de la Constitution pour que les femmes marocaines puissent bénéficier pleinement des acquis garantis par la Loi suprême qui a apporté des avancées importantes dans tous les domaines.
Par ailleurs, le Groupe socialiste à la Chambre des représentants a présenté au cours de cette semaine une proposition de loi pour l’abrogation de l’article 288 du Code pénal qui prévoit des sanctions contre les grévistes.