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La journée d’étude organisée samedi dernier à Casablanca va dans ce sens. D’éminents universitaires, juristes, dirigeants des syndicats sectoriels et des unions locales ainsi que des membres du Groupe fédéral à la Chambre des conseillers ayant y été conviés ont particulièrement enrichi le débat.
Dans le souci d’organiser le champ syndical et de maîtriser « l’inflation » de grèves frappant le syndicalisme dans certains secteurs, le gouvernement avait remis aux centrales syndicales en novembre 2009 les deux moutures de projets pour les examiner et les étudier avant de se prononcer.
Cette journée à laquelle ont pris part des personnalités de divers horizons se veut une rencontre de réflexion et s’inscrit en droite ligne de la méthodologie de travail prônée par notre centrale depuis sa création, nous a déclaré Abderrahmane Azzouzi, secrétaire général de la FDT.
Pour approfondir les débats, d’autres rencontres et tables rondes sont prévues dans les jours à venir, et ce pour mieux connaître les tenants et aboutissants de ces deux projets de loi, a souligné Mohamed Benhamou, membre du bureau central de la FDT.
«Nous sommes pour un champ syndical organisé qui définit clairement les droits et devoirs de tout un chacun à même de mettre fin la situation actuelle marquée par la balkanisation syndicale et le manque d’efficience des multiples centrales qui n’ont d’existence que le nom», a indiqué le même syndicaliste. Et de rappeler qu’en la matière, la FDT est une référence, puisque dans son statut, le secrétaire général ne peut assurer plus de deux mandats successifs et ses attributions et prérogatives lui sont définies par le bureau central et le conseil national.
Par contre, la loi sur le droit de grève nécessite de conjuguer les synergies de plusieurs intervenants pour avoir plus de visibilité et de mieux défendre les libertés, les droits et les intérêts des travailleurs.