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Pour la saison 2018-2019, "le chiffre d'affaires de 4,02 milliards d'euros représente une progression de 5,4% par rapport à la saison précédente, et un quinzième record annuel consécutif", note la Ligue allemande (DFL) dans un communiqué publié mardi.
La Bundesliga se situe encore loin de la richissime Premier League anglaise (5,8 mds d'euros).
Pour l'Espagne, la France et l'Italie, les derniers chiffres publiés sont ceux de la saison 2017/2018. Le chiffre d'affaires des 20 clubs de la Liga espagnole était alors de 4,15 mds d'euros, soit un peu plus que l'Allemagne.
La Ligue 1 française et la Serie A italienne étaient nettement en dessous: 2,8 mds pour la L1 et 3,07 mds pour la Serie A.
En Allemagne, le Bayern Munich (716 millions) et le Borussia Dortmund (446 millions) représentent plus d'un quart du revenu.
Si l'explosion des droits TV a été le principal facteur du boom économique des championnats depuis 15 ans, "de nouvelles perspectives de croissance sont à attendre des innovations digitales et du secteur international", note le patron de la DFL Christian Seifert.
Sur les dix dernières années, les deux divisions de Bundesliga (chiffre d'affaires cumulé de 4,8 mds) ont rapporté presque 10 milliards d'euros en impôts et taxes au fisc allemand et aux assurances sociales et accident, ajoute la DFL dans son communiqué.
Au total, 56.081 personnes sont employées directement ou indirectement par les structures ou clubs des deux premières divisions.