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Le député de la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), Alfred Bosch, enfonce davantage le clou en parlant d’«indices d’une sale guerre contre le souverainisme catalan », et en exhortant le gouvernement espagnol à ne pas utiliser le CNI «comme escadron contre les gens qui défendent la liberté de leur pays, car il finira par salir la démocratie espagnole».
Le quotidien « El Pais » a également précisé que le député européen, Ramon Tremosa, du parti catalan CiU (Convergence et Union) compte ester en justice contre la décision d’expulsion du ressortissant marocain devant la Commission européenne.
A noter que la décision a été notifiée à l’intéressé le vendredi 3 mai 2013 par la Brigade provinciale de l'immigration et de la documentation de la police nationale. Il a été détenu une journée dans un commissariat à Barcelone.
D’après le quotidien espagnol «El Pais», c’est le directeur du CNI qui a déposé plainte contre le Marocain en vue de son expulsion.
Et selon cette décision, Noureddine Ziani «menace la sécurité nationale», «compromet les relations de l’Espagne avec d’autres pays », et « collabore avec les services secrets étrangers depuis 2000». C’est pour cette raison qu’un article du journaliste Ignacio Cembrero dans le quotidien «El Pais» avait dépeint Noureddine Ziani comme «un petit James Bond».