-
L'Office des changes publie une circulaire relative aux mesures d'assouplissement et de simplification du régime de voyages pour études à l'étranger
-
Les enjeux du développement durable en débat à Fès
-
OQTF pour se débarrasser de ses migrants : Un truc qui ne marche pas à tous les coups
-
L’Algérie, en grande pestiférée du Sahel
-
Un rapport britannique sur la sécurité alimentaire braque les projecteurs sur les relations agricoles avec le Maroc
Si les dossiers présentés par les bureaux d'études successifs ont comporté des lacunes, techniques et professionnelles, le choix des sociétés soumissionnaires a été pour le moins énigmatique. Ainsi, comment expliquer que la société attributaire du projet en 2008 a été exclue des deux marchés lancés en 2006 au motif qu'elle "ne dispose pas de références techniques des trois dernières années portant sur la voirie urbaine"! Et contrairement, comment justifier l'éviction de la société Bourga SBTR des deux marchés sachant que ladite société a obtenu une note technique de 100/100 dans le cadre du marché initial avant sa subdivision ? L'arbitraire et l'intention de changer le cours du marché étaient certainement derrière ces manœuvres malsaines. Comment peut-on concevoir l'élimination donc de l'attributaire potentiel du projet ? La même chose concerne un bureau d'étude écarté au début mais retenu par la suite ! Pour ce seul volet de la voirie qui figure parmi tant d'autres concernant la municipalité d'Ouarzazate, ce rapport a été on ne peut plus explicite : "Les travaux de la voirie ont été entrepris d'une façon non professionnelle, ce qui a entraîné des coûts supplémentaires ". Et déjà le fait de scinder le marché en deux tranches a dévoilé, selon la même source, moult lacunes, dont l'absence de tracé d'itinéraire, le débordement des travaux des grands axes sur des petites interventions touchant des axes routiers de moindre importance.