L’Espagne ravit sa première Coupe du monde
La 19ème Coupe du monde FIFA est arrivée, dimanche, à son terme. Pour ce premier Mondial africain, le titre est revenu à une sélection espagnole qui a honoré jusqu’au bout son statut de favori. La «Roja», lauréate de l’Euro 2008, a remis le coup de la distinction, s’offrant dans la finale de Soccer City l’équipe néerlandaise sur le plus petit des scores : un but à zéro, signé par l’inévitable Iniesta.
Une consécration amplement méritée pour la sélection qui produit le plus beau football du monde. L’offensif à une touche de balle, un style de jeu plaisant, fait pour confirmer qu’efficacité peut aller de pair avec spectacle de bonne facture.
Un Mondial pleinement réussi, alors qu’à quelques semaines de son entame, les pires craintes sont allées crescendo, surtout en ce qui concerne la sécurité des hôtes de l’Afrique du Sud. Des inquiétudes dissipées au fil des jours pour que tout le monde se rende compte que «la guerre contre la criminalité a été gagnée» d’après les dires du ministre sud-africain adjoint de la police, Fikile Mabula.
Mais un Mondial, ce n’est pas seulement le sécuritaire. Il y a aussi les conditions de séjour, l’aspect organisationnel, l’affluence du public… et là, l’Afrique du Sud a réussi son pari, imprégnant à ce show du football sa marque déposée. Particulièrement grâce aux fameux vuvuzelas dont les sons perçants devraient être entendus sous d’autres cieux. En attendant 2020, année olympique qui cherche pays organisateur et l’Afrique du Sud a manifesté son intention d’abriter la plus huppée des manifestations sportives.
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Une consécration amplement méritée pour la sélection qui produit le plus beau football du monde. L’offensif à une touche de balle, un style de jeu plaisant, fait pour confirmer qu’efficacité peut aller de pair avec spectacle de bonne facture.
Un Mondial pleinement réussi, alors qu’à quelques semaines de son entame, les pires craintes sont allées crescendo, surtout en ce qui concerne la sécurité des hôtes de l’Afrique du Sud. Des inquiétudes dissipées au fil des jours pour que tout le monde se rende compte que «la guerre contre la criminalité a été gagnée» d’après les dires du ministre sud-africain adjoint de la police, Fikile Mabula.
Mais un Mondial, ce n’est pas seulement le sécuritaire. Il y a aussi les conditions de séjour, l’aspect organisationnel, l’affluence du public… et là, l’Afrique du Sud a réussi son pari, imprégnant à ce show du football sa marque déposée. Particulièrement grâce aux fameux vuvuzelas dont les sons perçants devraient être entendus sous d’autres cieux. En attendant 2020, année olympique qui cherche pays organisateur et l’Afrique du Sud a manifesté son intention d’abriter la plus huppée des manifestations sportives.
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Remue-ménage au Raja
