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L’adjoint du procureur du Roi qui était sur les lieux en compagnie, notamment des premiers responsables respectifs de la Police judiciaire et de la DST, a observé une neutralité trop passive. La raison de ce branle-bas de combat se rapporterait, selon les responsables sécuritaires, au fait qu’une telle réunion « qualifiée par eux de politique » ne peut avoir lieu sans autorisation préalable.
L’ex-président de la région Tansift-Marrakech, Abdelaali Doumou, avait beau présenter cette rencontre sous son vrai angle, mais les intervenants étaient apparemment sur les lieux avec une idée préconçue. Doumou a, par ailleurs, ajouté que même au cas où une autorisation aurait été impérative, cela n’aurait pas nécessité plus que la mobilisation d’un agent de l’administration, Mokadem ou autre, au lieu d’en charger toute une armée de policiers.
Les Marrakchis se demandent, par ailleurs, à quoi serait dû cette politique de deux poids, deux mesures, puisque pas moins de six banquets à l’actif du Parti de l’authenticité et modernité, ont dû être constatés par les forces de l’ordre, sans qu’il y ait eu de réaction similaire, ni de réaction tout court.