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Malgré des offres atteignant le million de dollars, le président de l'Uruguay, José Mujica, a assuré vendredi qu'il ne vendrait "jamais" sa Coccinelle Volkswagen bleu ciel de 1987, devenue un des symboles de la simplicité de son mode de vie.
"Je suis ami des Coccinelles depuis toujours", a déclaré le président lors de son allocution radio hebdomadaire, "Habla el presidente".
Il a raconté que lorsqu'il avait vu sa première Cocc', jeune homme, elle lui avait semblé "horrible". "Mais au fil du temps, je suis tombé amoureux des Coccinelles, jusqu'à aujourd'hui", a poursuivi cet ancien guérillero de 79 ans, au pouvoir depuis 2010 et dont le mandat s'achève en mars prochain. "En réalité, j'en ai deux. Une vieille dans un hangar qui ne marche plus, et celle-ci que j'utilise depuis que je suis président et qu'un groupe d'amis m'a offerte après une collecte", a-t-il poursuivi. "Je ne pourrai jamais la vendre parce que cela offenserait ces amis qui se sont réunis pour me faire ce cadeau", a indiqué le président, qualifié de "plus pauvre du monde" par la presse internationale.
L'hebdomadaire uruguayen Busqueda avait rapporté qu'un cheikh arabe avait offert un million de dollars à "Pépé" Mujica pour sa voiture. Le président avait indiqué que d'autres offres lui avaient été faites.
Habitué des grands discours anti-consuméristes, "Pépé" vit toujours avec son épouse dans sa modeste maison des environs de Montevideo et verse plus de 80% de son salaire de président à un plan de construction de logements pour personnes défavorisées.
Une Polonaise âgée de 91 ans, déclarée morte à son domicile par une femme médecin et transportée à la morgue, s'y est réveillée onze heures plus tard, a rapporté jeudi la télévision publique TVP. Les faits remontent au 6 novembre. Janina Kolkiewicz, habitante d'Ostrow Lubelski dans l'est de la Pologne, s'est réveillée dans une chambre frigorifique de la morgue, à la stupéfaction de ses employés qui ont vu un sac noir censé contenir son corps a commencé à bouger, a précisé la télévision.
"J'ai établi son acte de décès (...) Je suis sous le choc, je ne comprends pas ce qui s'est passé, son coeur ne battait pas, elle ne respirait plus. J'avais la certitude qu'elle était morte", a déclaré à la télévision le médecin, Wieslawa Czyz.
"Ma tante ne sait rien de ce qui lui est arrivé, car elle a une sclérose très avancée", a raconté la nièce de l'héroïne malgré elle de cette histoire, Bogumila Kolkiewicz, citée par un journal local. "Une fois ramenée à la maison, elle nous a dit avoir très froid et demandé un thé chaud", a-t-elle ajouté.
La police a ouvert une enquête sur cette histoire inhabituelle et le médecin risque des poursuites pénales, a indiqué la TVP.