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Après les Jeux Olympiques de Londres, qui a réuni plus de 5 milliards de téléspectateurs devant leur écran de télévision, beaucoup ont cherché à savoir s’il était possible d’acquérir le mobilier, ou objets installés pour le confort des athlètes. Cela tombe bien puisque selon le site 20 Minutes, un site internet britannique baptisé “Remains of the Games” a été édité pour vendre les équipements et accessoires du village olympique londonien. L’objectif est clairement défini : tout doit disparaître !
Malheureusement pour ceux qui fantasmaient à l’idée de s’acheter le lit d’Usain Bolt, les articles proposés en ligne ne seront pas nominatifs. Cependant, il sera possible de savoir à qui l’objet a appartenu durant la compétition... une fois l’article acheté. Afin de susciter l’intérêt des acheteurs, la société Ramler a promis de révéler quelques liens entre certains objets et le nom des athlètes.
A 68 ans, Richard Eggers s’est retrouvé au chômage du jour au lendemain pour une fraude anecdotique vieille de 49 ans. Décrits par Slate, les faits qui lui sont reprochés datent de 1963, à l’époque où l’homme n’a alors qu’une vingtaine d’années. Cet Américain, qui doit maintenant regretter jour et nuit cette erreur de jeunesse, a eu le malheur de remplacer une pièce de dix centimes par un morceau de carton, dans une laverie automatique.
Employé de la banque Wells Fargo dans l’Iowa depuis sept ans, l’homme a été licencié au mois de juillet dernier à cause d’une loi fédérale qui explique qu’une banque doit protéger ses clients de salariés malhonnêtes. Une fois les casiers judiciaires de chacun épluchés, la banque s’est rendu compte du petit impair de Richard Eggers. Il a été renvoyé sur le champ. “C’est gênant, mais c’est une loi à laquelle on doit obéir. Nous avons la responsabilité d’éviter d’employer ou de continuer à employer quelqu’un dont nous savons qu’il a un casier judiciaire”, explique une source proche de la banque, relayée par Slate. Désemparé, le vétéran de 68 ans s’est expliqué à la chaîne ABC5. Il estime notamment que ladite loi ne concerne que les cadres. “Là où je travaille, nous n’avons pas suffisamment d’autorité et nous ne prenons pas de décisions financières qui feraient une vraie différence”, se défend-il.