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Cédant aux pressions de nombreuses mères détentrices de billets, les organisateurs des Jeux de Londres ont autorisé mardi la présence cet été sur les sites olympiques des bébés, à condition qu'ils soient portés harnachés par leurs parents.
Depuis la vente des premiers billets en mars 2010, de nombreuses mamans ont accouché et découvert qu'elles ne pourraient pas assister aux épreuves avec leur progéniture sans acquérir un autre sésame. Mais la plupart des billets pour les compétitions avaient alors été vendus.
Le site internet mumsnet.com a été inondé de protestations de mères indignées estimant que la décision des organisateurs constituait une violation des lois sur l'égalité entre les sexes.
La campagne a porté ses fruits. "Toute détentrice de billet devenue entretemps enceinte, ayant accouché et souhaitant emmener son bébé aux Jeux pourra le faire", a déclaré le directeur général du comité d'organisation (LOCOG), Paul Deighton.
"Le bébé devra bien sûr avoir moins de 12 mois et ne sera admis que s'il est attaché en toute sécurité à l'un de ses parents au moyen d'un porte-bébé", a-t-il ajouté.
Condamnation
Une arrière-grand-mère qui a fait sensation en Californie en vendant des kits de suicide a été condamnée lundi à cinq ans de mise à l'épreuve assortie d'une amende de 1.000 dollars pour évasion fiscale.
Sharlotte Hydorn, professeur de sciences à la retraite âgée de 93 ans, a vendu par correspondance quelque 1.300 masques auto-asphyxiants à 60 dollars pièce avant de cesser son activité.
Poursuivie pour non déclaration des revenus qu'elle a tirés de cette activité entre 2007 et 2010, elle a plaidé coupable en décembre dernier. Selon les enquêteurs, sept de ses clients au moins ont mis fin à leurs jours au cours de cette période.
L'un de ces suicides a conduit le parlement de l'Etat de l'Oregon à adopter une loi interdisant la diffusion de kits de suicide.
Elle a expliqué avoir eu l'idée de ses kits après la mort de son mari, emporté par un cancer du côlon en 1977 dans des circonstances pénibles, attaché par des sangles à son lit d'hôpital, a-t-elle dit. "Il voulait mourir chez nous, mais je n'ai pas pu le ramener."
Elle souhaitait aider des malades en phase terminale à mettre fin à leurs jours dans la dignité mais a reconnu ne pas avoir vérifié les motivations de ses clients.
Selon le fisc, Sharlotte Hydorn aurait gagné quelque 40.000 dollars.